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Prof et plus si affinités
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Prof et plus si affinités
agregation
18 avril 2011

Pour l'instant, c'est dur

Je sais depuis midi que je suis "refusée".
Mes notes d'écrit correspondent à mes attentes, mais celles de l'oral sont incompréhensibles.
Je reviendrai demain ou mercredi sur le blog car je n'ai pas mon ordinateur (l'iPhone a ses limites) et parce que je dois avaler un peu la pilule...
A très vite quand même.

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13 avril 2011

Ultime day : épique

Avant de vous raconter mon épreuve de leçon, ze cherry on ze cake, laissez-moi débuter par mes frasques avec la SNCF.

cerise_cupcake

Ce matin, réveil à 6h. Pti déj, préparation, maquillage, et le reste; encas et sandwiches (pain complet, mâche, viande des grisons, chèvre frais, excusez du peu); Robbe-Grillet et Rimbaud glissés dans ma sacoche pour y jeter un oeil pendant le trajet. Départ de la maison à 7h05. Mais comme hier, je vois au loin le train me passer sous les yeux. Pas grave, me dis-je, il y en a toutes les 10mn en heure de pointe, et je suis convoquée à 8h15 donc c'est large.
Mais c'était sans compter sur l'imagination débordante de la SNCF en ces jours de concours : le prochain train était annoncé pour... 7h36. A cause d'une avarie technique, les autres avaient été annulés. Petite panique : j'appelle Flûtine pour qu'elle prévienne le lycée.
Pour faire court, sachez que j'ai eu le train prévu, que j'ai trotté ensuite dans le métro et que je suis arrivée au lycée Buffon à 8h13 exactement. Deux minutes avant l'appel et le tirage des sujets. Heureusement que je suis de nature solide, quand même.

Et nous voilà au moment fatidique : le tirage au sort. La leçon, je le rappelle, est une épreuve physique : six heures de préparation, et 50mn de passage en tout.
Je discute avec un agrégatif qui est dans les mêmes attentes que moi (et beaucoup d'entre nous) : pas Rimbaud, pitié, pas lui; le film de Melville siouplé, pitié; et Robbe-Grillet en deuxième position dans ce tiercé : moindre mal.
On me propose deux petits papiers. Je prends celui de gauche sur une impulsion. Je l'ouvre.

Effroi : "Poésies 1870-1871. Poésies 1872. Règles et dérèglements." Rimbaud, donc. Je redescends, digne, en salle de préparation. Je commence à réfléchir. Je demande à mes camarades leur douleur rimbaldienne : l'enfance, l'érotisme. Je ne m'en sors pas si mal.

Je n'ai rien laché pendant les six heures. J'avais mal au ventre sur la fin. Des sortes de crampes. Un gros glouglou récurrent. J'ai avalé deux tic tac menthe forte, histoire de faire allusion face à ses aigreurs d'estomac.
Mais j'avais sous les yeux onze pages quasiment entièrement rédigées, un plan qui me paraissait potable, et de nombreuses références. J'ai bien fait attention de ne pas m'appuyer sur des textes hors corpus (c'était l'un des pièges).

Je suis encore allée un peu trop vite (33mn au lieu de 40). Mais j'étais fluide, claire et je n'avais pas fumé les pages de mon Rimbaud pour élaborer un plan fumeux.
Questions du jour en entretien : connaissez-vous les interprétations des spécialistes sur le titre "L'Orgie parisienne" ? quel poète a repris la voie ouverte par Rimbaud si lui a repris celle ouverte par Baudelaire ? pourriez-vous expliquer "Racine - après lui, le jeu moisit" ? quelle différence faites-vous entre norme, référence et règle ?

J'avais les réponses à toutes ces questions, sauf la première. Et puis j'en ai oublié, vous imaginez bien. Je suis sortie, un brin branlante, quelques secondes. Sourire aux lèvres. Je l'avais fait. Ne pas sombrer devant Rimbaud. Ne pas me laisser écraser. Etablir un plan d'étude, comme un plan d'attaque. Avoir des choses à dire. Sortir la tête haute de ces trois épreuves.

Je l'ai fait.

Et si je n'ai pas l'agreg, je ne regretterai rien concernant mes prestations. Je suis allée au bout de mes capacités face à ces sujets. Je n'aurais pas pu faire mieux.

Ensuite, comme chaque jour, j'ai appelé Flûtine et Tinette. Envoyé des sms aux plus proches, pour tout clôturer dignement. J'ai pris le métro, en ayant soudain faim. Flûtine n'étant pas encore rentrée à la maison, j'ai décidé de me balader du côté de Saint-Lazare. Sur le trajet, j'ai cherché sur Google le nom de la femme qui m'avait interrogée en leçon : impression de la connaitre. Vue au capes ou ailleurs ? Ah, ben c'est l'inspectrice régionale de lettres. Gloups.

Sur St Laz, envie d'un moka chocolat blanc et d'une tranche de cake au thé et aux framboises dans une enseigne bien connue. Il y avait du bruit, je crois, mais je n'entendais quasiment rien. J'étais encore dans ma bulle. Sept heures  de réflexion d'affilée, c'est dur d'en sortir.

Cake

Je vous jure, monsieur l'agent, qu'il y avait un cake dans cette assiette !

Puis direction la Keufna, pour voir : je ne suis pas sortie de ma caverne depuis un mois. J'ai zieuté un boitier Nikon qui me tente, acheté un CD d'Otis Redding par simple envie depuis quelques jours (je l'avais en cassette audio il y a des décennies), et trois dvd : des classiques de la collection René Château (Nana, Les Liaisons dangereuses, Boule de suif).

Et là, pour tout vous dire, je sens la fatigue tomber progressivement. Impression d'avoir -enfin ?- des cernes. Flûtine ne va pas tarder. Je crois que je suis bien. Je peux attendre les résultats sereine. J'ai joué le jeu. Mais il va quand même falloir que je me repose un peu, je crois...

12 avril 2011

J2

Réveillée à 4h55, levée à 5h05; partie à 5h55, j'ai vu le train de 6h09, annoncé sur le site ratp, passer à 6h01. J'étais déconfite. La question que l'on se pose de suite, c'est : à quelle heure est le prochain train ? Puis : vais-je arriver en retard ?

ratp_appli

Dieu Métro merci, je suis arrivée ric rac au lycée pour poireauter patienter dans le hall et m'inquiéter à l'idée de tirer un sujet atroce du type un poème obscur de Rimbaud à commenter. Il ne restait que deux papiers dans l'enveloppe des sujets. J'ai eu l'un des derniers chapitres des Essais I. Décidément, c'est mon année Montaigne. Seul souci réel, la question de grammaire : les propositions subordonnées (sauf les relatives, parce que ça serait trop facile, hein).

J'ai bien utilisé mon temps de préparation, mais il faisait atrocement froid dans la pièce. En faisant la question grammaticale, j'ai peu paniqué, me disant que j'énumérais sans doute des évidences, mais qu'au moins je "remplissais". En revanche, en passant à l'oral, j'ai bien senti à quel point j'étais affreusement mauvaise -comme tout le monde- dans ce domaine.

Questions grammaticales du jour : "que" peut-il avoir la valeur de "si" dans la grammaire moderne ? une proposition subordonnée est-elle toujours dépendante syntaxiquement de la principale ? d'ailleurs, le terme de proposition principale est remis en question aujourd'hui; comment l'appelle-t-on dans la grammaire moderne ?

Questions sur le texte Montaigne : qu'est-ce le souverain bien en philosophie ? quel lien pourriez-vous faire entre cette notion et César, justement mentionné dans ce chapitre ?

Il reste donc une épreuve, la plus physique : la leçon. Six heures de préparation, 50mn de passage, entretien compris (et je vous fais la vidange ? je vous change les pneus ?). Je redoute affreusement Rimbaud : si je tombe sur lui, je suis en danger pour valider l'agrégation car il y a un risque énorme d'avoir environ 05/20.
Seules autres possibilités : Robbe-Grillet ou le film de Melville. Je prie pour avoir le film et "briller" dans une épreuve.  Mais là, Arthur me nouerait presque...

11 avril 2011

D-Day

DSC_1203

Scrabble "arrangé" hier soir par Flûtine

 

Première épreuve, passée. Il s'agissait de la littérature comparée. Je suis tombée sur... Neruda, un extrait du chant II, l'un des plus célèbres : "Les hauteurs du Macchu Picchu". Je ne sais pas du tout ce que vaut ma performance : impression d'être passée un peu à côté du texte, tout en me disant que les questions sont faites pour déstabiliser, gratter là où ça fait mal et que je ne dois pas me fier à cela.

Exemple de questions retorses auxquelles j'ai eu droit : pourquoi Neruda écrit-il Macchu Picchu et non Machu Picchu (qui est la bonne orthographe) ? les entrailles de la terre, toute cette thématique, cela vous évoque quoi  dans la mythologie ? faites toutes les remarques nécessaires sur l'expression "les lampes de la terre".

J'ai tenu le temps imparti, j'ai bien fait une intro et une conclusion (choisissant un vers du passage pour terminer en beauté), j'ai articulé, j'ai accepté des auditeurs (qui ne m'ont rien dit après...). Et je n'ai pas sombré malgré mes réponses vides; j'ai tout enchainé, stoïque.

Pour l'explication de texte et la leçon, mes préférences portent sur 50% des auteurs. C'est peu et c'est beaucoup. Exemples de sujets tombés en leçon : Néron dans Britannicus, le corps dans les Essais 1, la jalousie dans La Jalousie (je tire mon chapeau à Inthemood). Gloups.

Je vais me lever très tôt demain... Il faut tenir physiquement. Heureusement, Flûtine est là pour s'occuper de moi. Elle et bien d'autres ont l'air d'avoir aussi passé un oral aujourd'hui, en même temps que moi. C'est peut-être ce qui me rend plutôt sereine. Allez savoir.

 

 PS : si quelqu'un a la réponse concernant l'orthographe du Ma(c)chu Picchu, je suis preneuse : cela me taraude.

10 avril 2011

J-1

Histoire de vous tenir au courant, un petit peu...

On m'a attribué un numéro de candidat, j'ai noté mes heures et jours de passage, j'ai même pris en photo les feuilles affichées pour être bien sûre. Demain, littérature comparée. Mardi, explication de texte/grammaire. Mercredi, leçon. Il n'y a pas grand-chose à en penser, hormis que le gros morceau, le plus physique (6h de préparation, 40mn d'oral, 10 mn d'entretien) arrive en dernier. Je vais devoir me préserver, tout en donnant mon maximum sur chaque épreuve.

J'ai relu mes cours ce matin, et je vais sortir cet après-midi pour ne pas m'y perdre.

jury

L'épreuve de grammaire m'inquiète particulièrement. Et puis j'ai rêvé cette nuit que j'avais Charles d'Orléans en leçon mais que le sujet m'était totalement obscur...

Sinon, je n'ai jamais été aussi peu angoissée, nouée que maintenant face à des telles épreuves. Et puis je me dis que face à des candidates qui demandent au président de jury "euh, est-ce qu'on peut porter des jeans pour les épreuves ?", j'ai mes chances. Ceci étant, il n'y avait aucun absent à la réunion : ça donne le ton.

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9 avril 2011

Jimoinssizer : faire le décompte des jours/heures avant un événement.

Ces derniers temps, je comptais les jours. Sans non plus être focalisée sur ce point, mais quand même. Maintenant, il va falloir passer aux heures.

Et puis là, c'est J-1. Réunion ce soir pour savoir dans quel ordre je passe, les jours des épreuves, et tout et tout.

Je me force à ne plus réviser depuis hier soir. J'ai quand même achevé -enfin !- ma lecture de Césaire et revu le chapitrage du film. Les cours au lycée étaient étranges, entre énergie et épuisement : j'ai dû dormir chaque après-midi pour me remettre.

Et là, là, je ne sais plus trop quoi vous écrire, comme si j'avais besoin de me taire, de peser mes mots avant de passer mes oraux...

 

5 avril 2011

Foulibrousser : douter de ses capacités intellectuelles. Se sentir en-deçà du niveau requis.

Cela aurait été trop beau : je commence à m'inquiéter. Rimbaud, la grammaire surtout m'affolent. Impression de ne rien savoir. Le programme est incommensurable. Comme tout programme d'agrégation, me direz-vous. Ce qui me semblait réalisable devient monumental.
Souci : trois auteurs sur six ne me conviendraient pas à l'oral. Gloups.

Là, je me dis que je n'aurai pas le temps de boucler mon programme de révisions. Je reprends le lycée demain, après cinq jours intenses. Mon cerveau est au bord de l'implosion.

Alors après ma journée Charlot, Aimé, Arthur et grammaire, j'ai décidé de me préparer un gratin de légumes au tofu. Une première. Mais ça ne peut pas être mauvais, me dis-je. Et puis besoin de manger sain. De prendre des forces.

Flûtine arrivera vendredi. Et je me demande si je vais vraiment aller travailler ce jour-là. C'est mal.

Je vous laisse car j'ai besoin de m'éloigner un peu de l'écran, et la poésie d'Aimé m'attend ensuite...

4 avril 2011

Néoblouzer : découvrir des mots rares qui ne sont pas des néologismes.

J'ai enfin entamé la lecture de Césaire, et je peux vous dire que je comprends mieux les propos de mes collègues, qui me disaient que Charles d'Orléans était quasiment plus simple à lire. Je n'ai jamais vu autant de mots rares, que même le TLF ne connait pas. Ils appartiennent souvent au vocabulaire botanique, médical ou encore à des régionalismes. De fait, j'ai divisé mon temps de lecture par trois : j'ai lu hier 50 pages en deux heures. Hum.
Pour m'éclairer, j'ai lu ensuite ma prise de notes sur la littérature comparée. Très dense.

Sinon, j'ai aussi révisé mes cours sur Robbe-Grillet, qui a toujours ce pouvoir soporifique absolu  sur moi. Impression d'avancer lentement avec lui, en fait.

photomaton__2_

Photomaton pris hier. Cliquez !

 

Vers 20h, alors que je m'étais réveillée à 6h30 (un dimanche, oui, je sais), j'ai stoppé la machine et je me suis commandé des makis en récompense. Je les ai mangés devant deux épisodes de la saison 5 d'Ally Mc Beal. L'avantage, c'est que ça me détend, cette série. Au lit à 22h, car mes yeux baissaient le rideau.

A part ça, mon programme du jour portera sur Césaire encore et Montaigne. On verra ce qu'il me reste sur le timing pour envisager plus. Et ma seule "récréation", c'est Karouf. Pffff. Heureusement que j'ai encore demain (dernière journée donnée par le proviseur) pour poursuivre.

Je continue donc à courir dans cette dernière ligne droite, en sentant la ligne d'arrivée, un peu comme les chevaux. On verra bientôt si je suis pur-sang ou canasson.

Edit de 19h25 : 110 pages de Césaire, deux leçons de grammaire (l'infinitif et le morphème QUE), relecture des cours sur Montaigne. Je sature, alors direction abdominaux devant Canal !

1 avril 2011

Youkouléler : 1. crâner avant de passer des examens. 2. se réjouir devant un blender.

Alors que j'écoute Raphaël Enthoven en podcast sur Rimbaud, je vous annonce qu'aujourd'hui, ayant été généreusement libérée par mon proviseur pour réviser :

  • Je suis allée chez le coiffeur. Comme dit Dolly, je suis "capillairement " prête.
  • J'ai relu Pourquoi Benerdji s'est-il suicidé ? de Nazim Hikmet (100 pages environ), lu aussi des fiches sur les pronoms et le verbe. J'ai la désagréable impression cependant de ne rien retenir dans le domaine grammatical.
  • J'ai aussi réfléchi aux colles de demain pour ne pas être larguée : deux poèmes d'Arthur, deux leçons sur Melville. Je n'ai pas travaillé tout cela à fond, mais c'est un début.
  • J'ai vu ma mère, qui était ravie car son côté mère-poule ne peut s'exprimer en cette période de révisions : je suis enfermée dans ma grotte.
  • Je suis allée chez le médecin pour avoir sous la main tous les médicaments nécessaires en cas de maux de tête...

Sinon, je vous relate brièvement mon expérience de colle en explication de texte sur un extrait de Britannicus. Je suis passée mercredi, après un marathon de cours de seconde et dans un marathon de colles (nous étions cinq à passer à la suite !).

zen_jardin

J'étais étrangement à l'aise, encore une fois. Comme si mon trac devenait positif. C'est la première fois que cela m'arrive. Est-ce dû à mes six cachets d'euphytose quotidiens ? J'en doute, en fait.
Bilan de la prestation, dixit la prof : étude bien menée, dynamique mais un léger manque de technique (même reproche qu'en littérature comparée) et un contresens sur le mot "assez". Je me suis excusée d'avoir parlé "seulement" 25mn au lieu de 30, ce à quoi elle a répondu : "Ce n'est pas bien grave, quand l'explication de texte est bonne." J'aurais pu roucouler, je l'aurais fait.

Je crois qu'à ce moment précis, je me suis dit que j'avais peut-être le niveau, finalement. Et Asa trouve que je m'épanouis, que je rayonne depuis que j'ai admis mon admissibilité (hihi).

Ce matin, en me préparant, je me formulais quelque chose d'étrange : j'ai presque hâte d'être aux oraux. Pour enfin vivre ce sur quoi je me projette et dont on me parle tant. Ma seule peur porte sur le hasard des sujets : là-dessus, il y aura toujours des inégalités. Sinon, j'ai envie de me mesurer aux épreuves. Et ça, je vous l'assure, c'est une révolution, comme dirait Steve Jobs.

 

29 mars 2011

Bellegausser : (pour une femme) se sentir à l'aise, sûre de soi, féminine.

Voilà, j'ai fait mes achats pour les oraux. Au début, j'ai désespéré chez Gap, Etam, Promod, C&A et consorts : impossible de trouver un pantalon correct et de rentrer dans des tailles décentes. C'est à croire qu'il y a un concours des coupes les plus bizarres entre magasins.

IMG_0532
Pour rire, je suis entrée chez Zara. Sachant que dans leurs pantalons, j'aurais aussi de quoi me faire un short tant ils sont longs, et que la mode de cet été dans cette enseigne est affreusement colorée (vert émeraude années 90, orange sale, etc), je pensais ressortir aussi vite que j'étais entrée. Mais comme je suis d'une nature opiniâtre, j'ai farfouillé. Et j'ai trouvé un tailleur pantalon marron crème, avec revers.

IMG_0540

J'ai complété avec un pantalon noir sympa à -50% chez Etam, et achevé mon petit tour chez Sephora.

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Entre temps, j'ai relevé mes mails sur mon iphone (la technologie m'impressionne) et découvert qu'une colle sur Britannicus s'était libérée pour... demain. J'ai sauté dessus pour m'entrainer. Je me sens à la fois à moitié folle, et pleine de bravoure d'avoir répondu au mail de ma prof. Je passerai donc demain un second oral d'entrainement. Heureusement, j'avais réfléchi au texte ce week-end, et j'ai fait un bilan avec Tinette ce matin au téléphone à ce sujet. Parce que bon, ma folie a ses limites, quand même.

 Et vendredi, étape coiffeur. Il ne faut surtout pas que j'oublie de m'occuper de moi.

Non mais.

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