Journée finie
J'ai craqué ce matin comme je l'avais prévu pour des livres chez Gibert : contemporains, étrangers, ce qui m'inspire et éveille ma curiosité depuis un moment. Tout en occasion, donc deux fois moins cher que prévu. Même si je n'aime pas Gibert parce que j'estime qu'ils ne respectent pas les livres, je dois reconnaître que ces tarifs avantageux m'arrangent bien.
Sinon, au final, notre programme a subi un petit changement l'après-midi : passant devant les galeries de l'Hôtel-de-Ville, nous avons fait l'expo Willy Ronis (gratuite jusquau 27 mai).
Un grand de la photo, vous savez, pas la photo jetable numérique, mais bien l'argentique, et en noir et blanc, en plus. Ce que j'ai toujours aimé et pratiqué, quoi.
Un autre monde, un autre temps, une image de la France populaire et historique, des "petits" qui sont si grands dans leurs parcelles de beauté fragile...
Ensuite, pause café au Starbuck au pied de Beaubourg (ça pousse comme des champignons, ces cafés à l'américaine, en ce moment). Retour très tranquille jusqu'à Sentier en passant par la rue Montorgueil que j'adore. Métro. A mon arrivée à la maison, je trouve un bouquet de roses rouges...
Une bien belle journée, vraiment.
(Photos de W. Ronis, évidemment)