Tiercé capillaire
Demain, 17h30, je prendrai ma décision chez le coiffeur : coupe de transition ou retour au court. Z'avez le droit de faire des pronostics, tiens.
Demain, 17h30, je prendrai ma décision chez le coiffeur : coupe de transition ou retour au court. Z'avez le droit de faire des pronostics, tiens.
Prise entre petite déprime et sensations nouvelles.
Angoisses sur le plan matériel (comment trouver un appart' pas trop loin de Paris en étant seule pour payer ?).
Aucune -mais alors aucune- envie de faire ma semaine de cours de 23 heures.
Ma ville est passée à gauche alors que c'était un fief UMP depuis des lustres. Révélateur de quelque chose ?
Je vais sans doute aller chez le coiffeur cette semaine. Moins de cheveux, ça peut alléger la tête ?
Léger mal de tête au réveil.
Je serai à porte de Versailles cet après-midi. Je dormirai chez une amie ce soir. Qui a parlé de fuite en avant ?
Les paquets de copies vont attendre un petit peu. Tant pis.
Le rendez-vous avec la mère de Herky s'est plutôt bien passé. Elle voulait avoir ma version des faits. Pas de scandale, rien de méchant. Herky s'est braqué et a été apparemment poussé par ses petits "camarades".
J'ai voulu prendre un rendez-vous chez le coiffeur hier, mais tout était overbooké. Signe du destin ?
Reprise des cours demain. Comme à chaque fois, je me demande si je saurai encore enseigner. Et comme à chaque fois, passées les deux premières minutes, tout roulera. J'ai des tonnes de photocopies à lancer pour cette semaine.
Viens d'aller voter. Il n'y avait pas de corbeilles à papier au niveau des urnes. Je trouve cela regrettable.
J'ai "râté" un pot avec Emy et 22. J'espère que l'on pourra réitérer prochainement cette tentative...
Et puis j'ai froid, là.
En voilà un post passionnant en cette fin de dimanche !
J'avais ouvert un oeil à 7h35, en me disant que c'était assez idéal pour profiter de ma matinée et faire tout ce que j'ai à faire. Mais je me suis rendormie jusqu'à 8h50. Tant pis. Là, après un petit-déjeuner qui a traîné, une douche, et avoir ramassé le vomito des chats (merci à eux), je vais me mettre au boulot.
Peaufinage de cours, puis attaque d'une série de copies de première sur un extrait de Musset...
J'ai réécouté l'album de Juliette, mais je ne suis pas encore prête à faire un post dessus. J'envisage aussi d'en faire un sur Raphaël.
Envie de prendre l'avion pour partir vers un ailleurs qui m'oxygènera. Rome, Barcelone, Londres... Pas très original, mais j'ai envie de cela. Poser mes valises sans culpabilité, tout laisser en plan pour vivre pleinement. Pour changer. Pour couper la monotonie quotidienne. Pour m'exalter. Pour faire des photos. Pour alléger mon plexus. Pour combler le manque. Pour vivre ailleurs. Pour me sentir encore plus vivre. Tout bonnement.
Mais je vais descendre les poubelles dans la journée, me commander des capsules de café, acheter du pain, travailler pour mes élèves.
C'est vivre aussi, sans doute...
Malgré un début de migraine au lever, accompagné de légers hauts de coeur, j'ai passé l'aspirateur à l'instant. Hier, aucune copie n'a vu la lueur du jour. Je vais y remédier aujourd'hui : plus le choix.
Demain après-midi, F., mon ancienne prof de philo de prépa, viendra enfin découvrir l'appartement, alors que je risque de déménager cet été ou en septembre...
J'envisage de me préparer un long bain ce soir, à la lumière des bougies, pour me détendre. Il faut que j'en profite. Je n'aurai peut-être plus de baignoire sous peu, et c'était une grande première dans ma petite vie d'en avoir une.
Pour l'instant, douche réparatrice (quand j'ai mal à la tête, je prends dix ans d'un coup, je trouve). Puis copies. Ô joie, ô bonheur de l'enseignant.
Va quand même falloir que je bosse sur mes cours et mes copies (quatre paquets) : cela fait une semaine que je me laisse aller à une forme d'inactivité pédagogique... La reprise m'angoisse déjà un peu, comme d'habitude.
La Comtesse m'a donné une orchidée à sauver (c'est la troisième en un an que je dois ramener à la vie, tiens). J'ai donc rempoté hier la dite orchidée. Comtesse m'avait aussi fait des crêpes pour m'accueillir l'autre après-midi.
Et puis elle m'a offert le nouvel album de Juliette. J'en parlerai quand je l'aurai écouté plusieurs fois.
Mon nouveau joujou de téléphone portable a finalement bien des accusés pour sms, mais il n'a pas d'apostrophe ni d'accent circonflexe. Pffff.
Réveillée plusieurs fois cette nuit à 3h33 / 4h14 / 6h30 (quelle précision, n'est-il pas ?), je suis un peu dans le fog, mais ça ira mieux après deux cafés serrés.
J'ai lu hier soir une magnifique nouvelle de Laurent Gaudé, tirée de Dans la nuit Mozambique, qui s'intitule "Gramercy park hotel". Je n'ai pas pu la lâcher avant la fin.
Il fait un temps pourri aujourd'hui, mais cela ne m'empêchera pas de sortir. Des ces vagabondages, qui dira fuite en avant, qui épanouissement.
Je lis des articles sur la flambée des prix et constate que je n'ai toujours pas fumé la moquette : oui, certains produits laitiers ont pris jusqu'à 48% d'augmentation. Ce n'est pas une lubie de pauvre fonctionnaire qui, au passage en caisse, s'affole un peu.
A part ça, je me lève en étant épuisée. Mais il paraît que je ne suis pas sensée souffrir.
J'ai environ quatre paquets de copies à corriger : un changement de point de vue pour les secondes, un commentaire sur Musset pour les premières. Pas mal de choses à préparer aussi pour les cours. Pourtant, je compte m'accorder encore un ou deux jours de délai. Je pense en avoir réellement besoin.
Mon nouveau téléphone mobile est pas mal du tout, mais je me demande si les sms que j'envoie sont reçus. C'est tout de même gênant.
Ah, et puis je vais jouer à la Wii jeudi soir chez des copines. Je vais enfin me faire une opinion sur cette console qui m'intrigue et me paraît révolutionnaire.