Allô, docteur ?
Selon mes proches et selon moi-même (waouh, ça sonne bien prétentieux, ça !), il existerait plusieurs versions possibles de mon accident (en partant du principe que c'est mon inconscient qui a décidé que je devais me casser le métatarse et rester clouée chez moi) :
- Ma fracture permet de déplacer et focaliser mes angoisses sur ce souci précis, au lieu de penser au deuil de ma grand-mère.
- Ce jour-là, les courses me cassaient les pieds.
- En tant que TZR, comme je me sens à moitié prof, voire pas du tout, je n'avais pas envie de reprendre à la rentrée, surtout en ignorant à quelle sauce j'allais être mangée.
- Je voulais que l'on prenne soin de moi.
- "(..) est-ce ton investissement dans l'équipe handicap qui t'a obligée à te mettre à leur diapason ?"
- D'autres idées ?