Finalement, non (alors, les vilains espions, vous y aviez crû ? Mouarffffff mouarffff mouarffff !).
Je m'adresse à ces fourbes hypocrites et lâches : non, je refuse de me plier à un quelconque chantage. Je poursuis mon blog, aussi honnêtement que possible, sans nommer quiconque. J'en dirai encore moins sur ma vie personnelle qu'auparavant, mais je ne laisserai personne essayer de me dissuader de critiquer le système, d'évacuer mon stress sur un pauvre petit blog qui, sauf erreur de ma part, ne changera pas la face du monde...
La "grande muette", c'est bien l'armée, non ? Ou l'Education Nationale a repris le flambeau sans que je le sache ?
Désolée pour cette frayeur éventuellement créée par mon dernier message, mais j'ai eu entre temps quelqu'un du Snes (absolument charmant) au téléphone.
Je ne fais pas de mal, et les pratiques utilisées par un membre de ma hiérarchie au collège sont au contraire parfaitement condamnables.
Alors j'irai sans doute à cette sacro-sainte inscription des CM2 pour l'an prochain, même si cela est parfaitement illogique sur le plan pédagogique, étant donné que je ne serai pas là pour leur faire cours ni pour les accueillir dès septembre. D'autant plus que cette démarche administrative, comme l'a dit mon sauveur du Snes, "ne fait pas partie de mes obligations de service". La journée de solidarité aura donc été récupérée sur TROIS demies journées. Suis pas prof de math, mais quelque chose m'échappe, là...