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Prof et plus si affinités
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Prof et plus si affinités
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17 mars 2010

Au balcon de mes espérances

L'attente de l'Autre est insupportable, mais au moins elle est le signe que quelqu'un est à espérer. Je me sens à la fois pleine et vide, luttant contre le creux douloureux quotidien dans le ventre. Je passe mes journées en pilote automatique et en mode fonctionnel, mais celles-ci sont parfois pesantes tant elles me paraissent longues.
Il faut dire qu'avec des réunions à n'en plus finir (sur mes jours de "repos"), des corvées qui s'accumulent (on nous retire de plus en plus de moyens, mais il faut en faire de plus en plus), des TPE à faire passer, j'ai parfois des journées qui se terminent à 20h. Mon projet de lutte contre l'homophobie en milieu scolaire semble enfin aboutir (après cinq réunions, oui oui) et sera mis en place en avril, logiquement. D'un seul coup, le proviseur se dit très investi dans cette cause et me soutient "à 100%" -dixit. Remarquez, cela m'arrange bien.

Hier soir, j'ai vu des parents pour la remise des bulletins. L'un d'eux m'a beaucoup touchée. Il m'a parlé avec un fort accent du Kosovo, du travail dans les champs quand il était petit, de l'école qui semblait importante pour lui. Et puis après, il a regardé le bulletin de sa fille en disant "Catastrophe, catastrophe" et en tentant de m'expliquer, à sa façon, qu'il aurait aimé avoir cette chance d'aller au lycée, alors que sa fille restait devant son ordinateur, ne travaillait pas beaucoup, se maquillait, et avait pour amie une... Serbe. Cet homme simple, dans le beau sens du terme, m'a vraiment émue.

Demain, jour chômé, je devrai aller lire les dossiers de TPE dans le lycée d'à côté : on nous a supprimé cette année la demie journée de dispense de cours pour le faire. Nous prenons donc sur nos heures libres. Ensuite, de 16h à 19h, réunion pour la liaison 3ème-seconde (avec un peu de croustillant, que je vous conterai peut-être).

Sinon, je continue à prendre soin de moi -même si je me trouve une petite mine depuis quelques jours. Demain, rdv chez le dermatologue; les abdos sont passés à six séries d'au moins 50 mouvements; je me suis mise en jupe hier (officieuse journée de la jupe dans notre lycée)...

Ce soir, cours au Louvre. On parvient au XVIIème siècle, en faisant un tour d'Europe.

DSCF3666

A part ça, j'ai écrit pour samedi un défi littéraire sur le temps. Le sujet m'a forcément inspirée, évidemment. Il sera publié ici.

Que dire d'autre ? Ah si, j'ai besoin d'air, je crois. Et ce we, je suis dispo pour des vadrouilles/repas/thés... A bon entendeur...

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14 mars 2010

Vote etc

Je viens de finir de prendre mon petit-déjeuner, il fait gris dehors, j'anticipe mon programme du jour.
Hier soir, j'étais invitée chez une jeune collègue pour sa crémaillère. J'ai décliné l'invitation : je ne me sentais pas d'être au milieu d'une vingtaine de personnes inconnues dans un deux pièces. Et puis je l'aime bien cette collègue, mais je sens que je ne passerai pas le stade de la camaraderie avec elle. Autant avec mes copines du cercle littéraire (autrement dit le "G5"), cela coulait de source pour moi, autant là, j'ai un frein (sans trop savoir lequel, d'ailleurs).
J'avais donc décidé de repasser tranquillement devant quelques épisodes d'Ally Mc Beal. Le repassage, passé à la trappe hier soir, va donc être fait aujourd'hui.
Ensuite, et bien évidemment, je dois aller voter dans mon ancienne commune de résidence (je n'ai pas encore véritablement investi ma "nouvelle" ville et donc pas fait les démarches pour être inscrite ici). J'ai fait un cours en ECJS vendredi sur les régionales pour expliquer l'importance de ce vote dans notre vie quotidienne. Je lis partout que l'on craint les 50% d'abstention (rien de tel pour que ce soit le cas et que les gens s'habituent au chiffre). Cela me désespère et me mettrait presque en colère -chose rare chez moi, réellement. Quand je pense aux Irakiens qui se sont déplacés par millions sous les bombes, affrontant les attentats des extrêmistes pour aller voter, certains y laissant leur vie, je me dis que vraiment, ce confort de l'électeur français est un luxe que beaucoup oublient.
Depuis que je suis en âge de voter, je n'ai raté aucune élection. Enfin, un seul tour pour une régionale, à cause d'un accident de voiture dont j'ai réchappé par miracle, ce qui me paraît être une assez bonne excuse. Systématiquement, je ressens une grande fierté et presque un "pouvoir" d'être une femme dans un pays libre, qui a le droit de voter. L'image, le symbole peuvent sembler galvaudés aux yeux de certains, mais je pense toujours à celles et ceux qui se sont battus pour ça.

Par ailleurs, j'aimerais cuisiner aussi en ce dimanche : fondue de poireaux, compotée de pommes vapeur, pain perdu allégé.

Enfin, je dois ranger le linge propre, changer les draps, préparer trois contrôles de lecture et revoir mes cours.

Sinon, et cela n'a rien à voir avec mon dimanche -quoique-, je pense à Jean Ferrat, le poète engagé qui est parti aussi délicatement que possible hier. J'aimais beaucoup, en collège, faire étudier et écouter aux élèves "Nuit et brouillard" dans le cadre de la poésie engagée.

On m'a "offert"  un texte d'Aragon que j'aimerais mettre ici, mais il est un peu long. Alors cliquez sur le lien...

ferrat

Edit de 13h : furax, dépitée, verte, déconfite. Voilà les mots qui me viennent à l'esprit. Tenez-vous bien : moi qui prône l'importance du vote, moi qui voulais lutter contre le taux d'abstentionnisme, tout ça, je ne peux voter. J'ai été radiée des listes électorales de mon ancienne commune. La raison est floue, mais l'on suppose que c'est à cause du retour des courriers électoraux, étant donné que j'ai déménagé. Seul souci : aux dernières élections, j'avais pu voter sans problème. Je suis en colère contre moi-même parce que je ne me suis pas inscrite dans ma ville, certes, mais surtout en colère contre ce système expéditif. Je ne ferai même pas partie des pourcentages d'abstention ! Je ne suis même plus électrice. Quel camouflet !

6 mars 2010

State of emergency

Voilà, depuis hier je range, je trie, je jette. Il y en avait vraiment besoin : j'ai même retrouvé des bulletins de salaire de 2008... La cuisine a été renouvelée d'une certaine façon, aussi : j'ai un petit plan de travail, maintenant. Je voulais la rendre plus fonctionnelle et plus agréable. C'est chose faite, je crois.
Ensuite, il y a eu le bardas du salon avec les piles de papiers. Ce matin, l'aspirateur. Il me restera les poussières, mais je reporte à demain ou lundi, tant pis.
Car, ne l'oublions pas, j'ai un métier, mesdames et messieurs. Et je n'ai quasiment rien fait jusque-là pour le lycée. A part deux paquets d'interrogations plutôt rapides à corriger, et une lecture de Zweig, j'ai tout laissé au point mort.
D'un autre côté, il me fallait essayer de décompresser : je vais devoir traiter (comme tous mes collègues, ce qui est rassurant quelque part) la moitié du programme en un trimestre. Deux objets d'étude (et pas des moindres) en moins de quatre mois : le roman et la poésie.
Donc, au programme de ce week-end, préparation des cours pour les deux prochaines semaines avec contrôles de lecture à la clef, deux paquets de copies de seconde; entre deux,  abdos, fessiers et un tour chez Monop ainsi que chez Naturalia (jusque-là, j'ignorais même l'existence de cette boutique près de chez moi...).
Je trouve que c'est déjà pas mal, en fait.
Ah, et puis lundi, si j'en ai le courage, un tour au Bihètchvi pour investir dans un furet.

furet_1

Pas celui-là, non. Plutôt celui-ci.

furet_plomberie

Parce que jouer à la mare aux canards quand je prends ma douche, je trouve ça moyen.

12 février 2010

Rhaaaaa !

jean_louis_trintignant

Je reviens d'un spectacle fabuleux : Jean-Louis Trintignant récitant du Vian, du Desnos et du Prévert. Quelle voix ronde et chaude, grave et délicate il a ! Quelle classe a ce monsieur, vraiment...
Je regrette simplement qu'une vingtaine de spectateurs n'aie pas su éviter d'applaudir après chaque texte, alors que Daniel Mille jouait de l'accordéon pour accompagner Trintignant.
Et puis sinon, je devais enchainer pour aller chercher Flutine à la gare de Lyon, en voiture. Mais son train a beaucoup de retard... J'enrage de devoir encore attendre. Je pense que c'est pour éprouver notre patience.
Demain matin, je participerai à la journée portes ouvertes du lycée. Du coup, et heureusement, je commencerai un peu plus tard. J'ai préparé un document en powerpoint pour les lettres. Je suis assez contente de moi, surtout que je l'ai fait très rapidement cet après-midi.
En attendant de repartir dans la nuit froide vers la chaleur d'un coeur qui aime, je vais me prendre un café, car la fatigue se fait sentir, malgré tout.

11 février 2010

TourterElles

Pendant que mes sols sèchent, je me pose enfin pour écrire ma bafouille du jour.
J'ai réussi à me lever pas trop tard, grâce à mon combiné de fixe qui réclamait sa pitance de batterie. Ben oui, il est à mon oreille une bonne partie de la nuit, alors il se décharge, forcément.

Au lever, je prends des forces pour ma longue journée de repos-labeur. J'ai réussi à remplir les bulletins de mes trois classes en les étalant sur le matin et l'après-midi. J'ai fait tourner trois machines et deux sèche-linge. J'ai rangé la cuisine, fait les poussières, passé l'aspirateur, nettoyé les sols à grandes eaux.

Outre cela, je voulais préparer une compote maison, mais cela me semble juste ce soir. Je vais plutôt faire mes abdos quotidiens, avant d'enchainer sur du repassage.

Par ailleurs, j'ai eu pendant trente minutes environ une déléguée des parents d'élèves au téléphone. Je voulais entendre sa version des faits vis-à-vis de Krakoukass. Deux sons de cloches, c'est mieux.

A part ça, je roucoule toujours, et je trouve une forme de sérénité dans cette relation qui m'émerveille...

tourterelles

PS pour Emy : je n'oublie pas l'entrée sur les cours du Louvre, je n'oublie pas... Hier soir, c'était sur le quattrocento et j'ai adoré...

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10 février 2010

Craque ou casse...

J'ai du mal à garder la tête hors de l'eau niveau boulot, en ce moment... Je corrige même le soir, ce qui est sans doute une première dans ma carrière. Les bulletins sont en attente, actuellement. Et ils vont avoir la priorité sur les copies restantes, tant pis.

telephone_fixe

Sinon, hier soir, j'ai eu un appel de... Krakoukass. Désarçonnée, je n'ai osé raccrocher. Il m'a appelée sur mon fixe alors que je ne lui avais pas donné mon numéro. Hum. Mais comme je ne suis pas cruelle, je l'ai écouté. Je savais que ça sentait le roussi pour lui. Et là, il est déprimé : les parents de seconde ont monté un dossier contre lui, avec des exemples de notation, un relevé des problèmes avec tel ou tel élève, etc. Ils estiment que l'année ne peut se terminer dans ces conditions car "les élèves rient de lui sans cesse".
Le souci, c'est que Krakoukass ne se remet pas en question. Il vit cela comme une agression -ce qui l'est- mais sans prendre conscience qu'il a des soucis avec toutes ses classes (j'ai appris aujourd'hui que ses terminales STG ne s'asseyaient même plus en cours...). Cela fait deux ans que ça dure. Alors hier soir, je n'ai pas eu le coeur à le rembarrer. Je lui ai dit que je ne trancherai pas, que je ne prendrai pas position car j'ignorais comment ça se passait en cours pour lui, et surtout que son opinion sur certains élèves ne correspondait pas à l'image que j'avais d'eux.
Là, il est en souffrance, un peu perdu. Je tente d'être à l'écoute sans pour autant sombrer dans la condescendance, et je ronge mon frein d'être trop franche avec lui...

Le conseil de classe de lundi risque d'être chaud bouillant... D'ici-là, j'aurais appelé une mère déléguée des parents pour causer un peu avec elle, et lui dire qu'il aurait été bon de parler de tout cela avec moi aussi, avant d'attaquer mon collègue devant ses supérieurs...

Là, je vais tenter de remplir quelques bulletins, puis je partirai m'occuper de moi. Activité salvatrice, je pense, avant d'enchainer sur le cours du Louvre (si j'ai le courage d'y aller). Il faudrait plutôt que je termine mon boulot... Pffff.

7 février 2010

Rideau !

rhinoceros


Rhaaaaaaaaaaaaaaa, les bras m'en tombent : je viens de finir de corriger une copie de 13 pages totalement verbeuse, écoeurante comme un mauvais mille-feuille... J'ai dû y passer presque une heure !
Depuis ce matin, 8h30, j'ai corrigé treize copies de Bac en séries générales. Il m'en reste six pour cette partie. Ensuite, viendront celles des technologiques (23 copies), puis deux paquets en seconde, un en STG, un en ES... Tout va bien, tout va bien, respire, ma fille.

J'ai décidé, au milieu de cette semaine alléchante et exaltante intellectuellement, de m'occuper de moi mercredi après-midi, avant le cours du Louvre. Je crois que ce n'est pas en trop, d'autant que je verrai Flutine tout le week-end prochain, alléluia...

Allez, je retourne à mes commentaires sur Ionesco, souvent absurdes, mais sans le vouloir...

Edit de 19h

J'ai fini les copies des générales, préparé le planning de la semaine, relevé les notes de mes élèves, mais aussi fait de la wii fit. Seul souci : j'ai changé les piles de la wii balance board à sa demande (oui, elle cause), et là, sous l'euphorie du moment, elle a déglingué tous les résultats en me disant qu'en quatre jours, j'avais perdu 7kg. Mais bien sûr. J'ai été obligée de me peser après sur mon pèse-personne (chose que je ne fais jamais et qui me déplait).

Je vais enchainer sur mes abdos du jour, tenez. Je ne lâche rien.

4 février 2010

No smoking area

no_smoking

Aujourd'hui, encore quinze élèves de passés à l'oral. J'ai commencé par un 04/20 et fini sur un 05. Grandiose.
Les plus belles bourdes ont failli me faire vraiment rire :

" _ La Fontaine a écrit pour le Dauphin, qui allait devenir roi. Mais qui était son père ?

_ Napoléon Ier !"

Au cours de l'analyse de la scène d'exposition de Dom Juan, dans laquelle Sganarelle parle du tabac... "Toute la scène parle du tabac parce qu'au XVIIème siècle, on fumait devant les gens. Et à cette époque on a fait une loi pour interdire de fumer dans les lieux publics. C'est pour ça que Molière en parle dans sa pièce au début".

Voilà pour les perles du jour... Sinon, mes STG semblent s'être illustrés à l'oral, bien évidemment, en arrivant sans textes, en retard, etc. Les ES sont pile dans la moyenne nationale : 10/20, et la moitié d'entre eux a réussi son oral. Il y a eu quelques bonnes surprises. Reste l'écrit qui, aux dires de mes collègues qui ont commencé les corrections, est catastrophique. Je verrai ça ce we...

Heureusement, demain soir, pour décompresser un peu après notre semaine d'oraux, petit cercle littéraire avec mes coupines profs chez moi ! On sera crevées (je suis cuite comme la salade, ce soir) mais heureuses de papoter ensemble.

Allez, je vais préparer mes dernières fiches de passage pour demain, faire mes abdos, et rêver...

2 février 2010

Puzzle

coeur_puzzle

J'ai laissé mon coeur par la fenêtre, ce matin. Non : j'ai lancé mon coeur par la fenêtre, ce matin. Non plus : mon coeur est resté derrière la fenêtre, ce matin. Oui, c'est mieux. Pas encore tout à fait cela, mais mieux.
Après, il a fallu entamer les oraux blancs de Bac. A huit heures, la première candidate a planché. Mon coeur était toujours à deux kilomètres.
J'ai eu droit très vite à la plus jolie perle de la journée, vers 9h : "Rousseau faisait partie d'un club d'intellectuels sur l'académie de Versailles, qui posait des questions. Il y répondait. Et après, il a eu le prix Nobel".
J'ai repoussé un rire. De toute façon, mon coeur vibrait ailleurs.
Vers 10h, j'ai tenté de rallumer mon portable déchargé (j'avais bêtement oublié le dit portable au fond de mon sac tout le we...). J'ai entendu sa voix, et mon coeur a un peu respiré. J'ai raccroché, il le fallait bien, et remis le coeur à deux kilomètres.
J'ai poursuivi vaillamment les oraux; j'ai déjeuné en me faisant gentiment taquiner par Tinette qui parlait de mon air fatigué et de mon cerveau en yaourt; je suis retournée dans ma salle, frigorifiée. Impossible de me réchauffer depuis des heures. Je savais mon coeur dans le train vers loin.
J'ai repris le fil des études de texte. Rien de brillant ni de fort drôle, mais j'ai assuré ma partie comme il le fallait. Quinze candidats en une journée. Un élève ne s'est pas présenté, j'ai donc fini plus "tôt". J'ai récupéré mes 42 copies de type Bac, qui s'ajoutent à mes six paquets à corriger en moins de dix jours...
Et pourtant, et pourtant, les copies sont loin... de mon coeur.
Rentrée en ayant un peu peur du vide, une page rapidement écrite laissée par terre pour m'accueillir. Mon coeur était là, en petits morceaux, mais heureux.
Oui, heureux.
C'est étrange, un coeur en miettes, et plein.
J'ai retrouvé quelques morceaux de mon coeur, ce soir. Non : j'ai soigné mon coeur, ce soir. Non plus : mon coeur a été soigné ce week-end. Pas encore tout à fait ça, mais mieux.

31 janvier 2010

Etirements croisés

abdominaux


Encore tombée du lit trop tôt, j'en ai profité pour nettoyer les sols, préparer un tableau excel pour les oraux, envoyé quelques mails aux collègues, puis j'ai refait le lit, rangé mes affaires, et là j'attends que les sols soient secs pour poursuivre.
Il me reste à m'occuper de moi, vider le lave-vaisselle, établir mes questions d'EAF blanc et ensuite attendre... l'arrivée de Flutine. Oui, c'est déraisonnable, mais si bon... Nous sommes incapables de ne pas nous voir plus d'une semaine pour l'instant. Alors la folie l'emporte... Non, en fait, non : c'est la douceur qui l'emporte.
Ah et puis cela n'a rien à voir, mais je suis passée à une moyenne de 250 à 300 abdominaux quotidiens. Je suis encore loin de la plaquette de chocolat (plutôt Nutella, actuellement), mais je m'accroche. Le moral en profite.

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