Faux départ
Alors, si je fais le bilan de ce tout début septembre, ça donne :
Je n'ai aucune nouvelle du Rectorat, comme depuis trois rentrées. Sachant que les remplacements à l'année seront donnés en priorité aux néo tit', je crains le pire au moindre coup de fil (genre remplacement d'un mois à 60km de chez moi dans un établissement "difficile"). En attendant, je suis en décalé face à mes amis collègues. Je crois que c'est cela le plus pénible, finalement.
Je devrais avoir honte de le dire, mais je suis fatiguée : je dors mal, je ne suis pas partie du tout cet été, et j'ai -pour changer- des angoisses et des inquiétudes d'ordre personnel.
Je compte me remettre au tir à l'arc. Il faut donc que j'aille chez un médecin pour avoir le fameux certificat de non contre-indication blabla. En bref, je dois changer de médecin référent puisque j'ai déménagé et cela me saoûle. En plus, on ne se sait jamais sur qui on tombe...
J'attends toujours ma nouvelle voiture. Redonner l'autre me fera tout drôle, mais je réaliserai certaines économies. Au prix de l'essence aujourd'hui, je n'ai guère le choix.
J'ai entamé la fameuse trilogie de Larsson, Millenium. On m'en avait tellement parlé que je suis forcément un peu déçue : j'ai mis 200 pages à "être dedans". Je vais achever le premier tome ce matin, je pense.
Je réécoute du classique. Hier, c'était les arts florissants de William Christie. Envie de La Callas, aussi, toujours et encore.
Ce que je viens d'écrire est stupide puis que je vous ai bassinés avec Vivaldi et le baroque ces derniers mois. Je n'ai donc jamais cessé d'écouter du classique. Il faut relire la phrase en commençant par : "Hier j'ai écouté les arts florissants..." etc.
Allez, je vais me préparer "au cas où" le Rectorat m'appellerait...