Désencartonnage maximum
Après cinq jours non stop de déballage, rangement, bricolage, j'accuse une grande fatigue. Pas forcément physique, mais morale.
Aujourd'hui, c'était la partie pénible : papiers, petits trucs qui trainent, stylos, etc. Il me reste cinq cartons et le palier est envahi de ceux qui sont vides. J'ai l'impression de manquer de place ou d'étouffer le salon. C'est étrange : je trouvais que je m'en sortais mieux quand l'appart était envahi. Ou alors c'est parce que les dernières étapes sont moins visibles. Sais pas. Sais juste que je suis fatiguée.
Je me dis aussi que l'on garde trop de choses. J'ai encore fait du tri (deux déménagements en moins de deux ans, ça rôde), pourtant pas assez. Pourtant dans 46m2, seule, je devrais y arriver...
Et puis j'ai deux chats (S récupèrera la femelle siamoise à son retour de vacances ibériques) qui ne savent pas encore que la petite Clochette chartreux risque de débarquer lundi soir... Le matou noirot est déjà bien traumatisé par tous ces changements, ce qui promet.
Allez, pour compenser tout ça, et parce que je le mérite, j'vais me faire des orechiette al pesto.
Na !