Voilà, je quitte les ondes pour une durée indéterminée... Cela va me faire tout drôle de ne plus aller quotidiennement fureter sur des blogs amis, et sur le mien.
A très bientôt en tous les cas. Soyez sages (mais pas trop) !
Je viens de lutter pendant une heure trente contre mon frigidaire : nettoyage complet. Il n'avait jamais été aussi rutilant, sauf à la livraison, neuf... :-x
Mon cours particulier a été annulé, ce qui m'arrange rudement.
J'aurais bien envie d'une petite sieste, mais le devoir m'appelle encore et toujours. SuperVirgi se remet en route.
(Ok, je fais des entrées pour pas grand-chose, mais je profite d'avoir internet jusqu'à ce soir pour poster... Bouh, je suis devenue web addicted,moi...)
Le peintre est particulièrement compliqué... Je ronge mon frein pour rester zen, mais je ne suis pas couchée ce soir : je dois nettoyer la moquette et le carrelage (cuisine + salle de bain) après mon cours particulier qui se termine à 18h30. Sachant que les peintures ne seront pas tout à fait sèches, et qu'il n'y a pas de lumière dans certaines pièces, ça va être folklo.
D'autant plus que je veux aussi débrancher tous mes appareils électriques avant l'arrivée des déménageurs demain matin. Et que je dois faire mes cartons personnels (ben voui, je ne vois pas les gros bras mettre leurs mimines dans mes petits dessous et mes bijoux).
Help.
C'est mon dernier mot, Jean-Pierre.
Malgré une tendinite avec arrêt de travail prolongé, et un pseudo stage prévu le 29/11, mon RAD (établissement de rattachement administratif) a donné mes coordonnées à un collège, dans une ville que je ne connaissais même pas, pour un plein temps.
Juste 50 bornes en voiture à faire en région parisienne, sans remboursement pour les frais de déplacement (sauf si j'y vais en transports en commun. Fastoche : ça me prendrait environ 2h x 2/jour d'après la RATP...).
Je n'ai pas encore eu d'appel de leur part. Ce qui est fort drôle, c'est que mon numéro de fixe va devenir inopérant dans quelques jours...
Je bénis Saint Internet. J'ai pu m'acheter ce matin le réveil-qui-tue sur un site d'achats bien connu maintenant (au moment de ma connexion à 7h30, il y avait plus de 83.000 visiteurs en ligne...), alors que je ne suis pas censée en avoir les moyens.
Du coup, sur l'achat de deux modèles pensés par Starck pour Oregon Scientific, j'ai réalisé un gain de plus de 300€...
Je suis certainement terriblement consommatrice/capitaliste, mais j'adore ça. Même pas honte. Pour une fois que je peux m'offrir un peu de design !
Et ces réveils rendront si bien dans notre nouveau château...
Bon, le deuxième tir s'est moins bien passé : gros manque d'endurance, fatigue, automatismes de séquence de tir pas encore retrouvés... Bilan : 450 pts ce coup-ci. Assez logique, finalement.
Va falloir que je me remette à l'entraînement sérieusement. Cette semaine, ça va être dur avec le déménagement.
Je suis lessivée aujourd'hui, ce qui n'est pas pour me plaire. Je m'agace beaucoup quand je suis dans cet état.
Mon pochon de glace sur le pied, je fais cette petite entrée sur le blog avant de m'effondrer au lit : je dors presque debout.
Mon premier concours s'est plutôt bien passé. La reprise aurait pu être assez catastrophique, mais j'ai retrouvé quelques bonnes sensations.
Je termine avec 504 points (sur 600 possibles, 253 + 251 sur blason de 40cm à 18 mètres). C'est en-dessous de ce que je vaux, je le sais, mais je n'aurais pu guère faire plus après quatre mois d'arrêt de tir, un pied cassé, deux entraînements légers et une tendinite...
Je retire demain. Juste pour me faire plaisir.
C'est bon de reprendre.
Je cours après le double des clefs (et non pas des "clés" : c'est plus joli, et comme disait C., on y voit la serrure...); je connais Leroy Merlin par coeur, et vais devenir une incollable du stratifié et des colonnes de salle de bain.
Le peintre s'est mis en route. Notre entourage a joué la carte de la générosité pour notre installation : nous allons pouvoir mettre du plancher à la place de la moquette qui pue !
Mais à force de courir partout, j'ai mal au pied. Normal, suite à ma fracture, j'ai une tendinite.
Demain, premier tir compté de la saison (je recommencerai dimanche aussi)... Je redoute le pire : ma corde ne sera pas tout à fait prête, ou alors je devrais en prendre une neuve et poser des nocksets (c'est ce qui empêche la flèche de tomber sur la corde 
) provisoires au pifomètre juste avant la compét'... Hum.
Et puis j'ai découvert dans le miroir de notre nouvel ascenceur bien éclairé que j'avais bien plus de cheveux blancs que je ne croyais. Je suis prise dans cette contradiction : 1) ça donne du charme; 2) damned, je vieillis.
"S'intéresser à un écrivain parce qu'on aime son livre,
c'est comme s'intéresser aux canards
parce qu'on aime le foie gras."
Jonathan Littell (citant Margaret Atwood),
Prix Goncourt 2006,
dans le Monde des Livres (16/11/2006)
