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Prof et plus si affinités
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Prof et plus si affinités
series tv
22 juillet 2009

Sans dommages

Je ne vois pas les journées passer, en ce moment, qu'elles fussent fort occupées ou pas du tout ! Aujourd'hui, lever tôt sans l'avoir décidé mais ce n'était pas grave : j'ai profité de mon petit-déjeuner en longueur, rangé, et cuisiné un clafoutis aux framboises et aux prunes.
Malheureusement, j'ai senti poindre un début de mal de tête vers midi, sans doute dû à la musique que j'avais mise le matin (pas violente, mais bon : Cold Play puis Ray Lema et les voix bulgares).
Pour m'occuper l'esprit, j'ai cherché à résoudre un problème de site en streaming : j'ai téléchargé un patch pour divx, et ensuite j'ai regardé, non stop, toute la saison 1 de Damages... Un délice d'intelligence, de violence contenue, de stratégie, de finesse psychologique... Et puis Glenn Close est là, magistrale. Elle a un charme fou, soit dit en passant.

Glenn_Close

L'ordi commence à vraiment chauffer du clavier, mais je suis contente de ma journée. Au loin, le ciel est couleur cendres, mes géraniums fuschia colorent le balcon et ressortent encore plus, j'étais sur mon beau canapé turquoise, avec mon portable...

J'ai quand même fait une pause dans l'aprèm pour aller à la Poste. Grandiose, non ?

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8 juillet 2009

Délicieuse flemmatite

Je crois que j'ai rarement autant apprécié et profité de mes vacances. En tout cas, cela faisait longtemps.
Je me couche relativement tard et me lève vers neuf heures, malgré l'habitude et l'automatisme du 6h30.  Hier soir, j'ai zappé entre l'hommage à Michael Jackson et les Desperate Housewifes, avant d'enchainer sur cette série dont j'avais entendu beaucoup de bien : Damages. Glenn Close y est magistrale. Trois épisodes d'affilée, et j'étais déjà en attente de la suite.
La trame narrative est basée sur des flashes back, et je pense que l'on ne comprendra les images du premier épisode que tardivement... Ce qui entretient évidemment le suspense et oblige le spectateur à tout suivre -malgré une tension certaine.
Mon téléviseur n'en revient pas : je ne l'allume normalement que pour jouer à la wii. La télé ne fonctionne que fort rarement. Ce léger laisser-aller me va bien actuellement.

Damages_S1_DVD_early

Ce matin, j'ai fait un peu de rangement dans l'appart, deux trois mails; je n'ai toujours pas pris ma douche et je réfléchis encore à ce que je vais faire cet aprèm. Peut-être aller du côté de St Michel. Ou pas. J'ai le choix : j'adore ça !

26 juin 2009

Une époque qui s'efface

Hier, Farrah Fawcett. Aujourd'hui, Michael Jackson. Une tranche de ma vie, en fait. On dira ce que l'on voudra sur l'un ou sur l'autre, mais je les apparente à mes premiers souvenirs télé, quand je passais mes vacances chez mes grands-mères.
Pour le clip de "Thriller", la famille -hum, le mot est bien grand pour ce que nous étions les uns pour les autres, mais comment dire les choses autrement ?- était réunie autour du poste : mes deux cousines et moi-même, les parents, les oncles, les tantes, la grand-mère, l'arrière-grand-mère à demi aveugle, pourtant... Ils nous avaient bien dit que si nous avions trop peur, nous pouvions sortir de la pièce. L'événement était national, c'est sûr (une exclu je crois de Drucker, mais pas certaine de ça...). Planétaire, je ne le saurai que bien plus tard. Nous étions tous devant le poste, presque hypnotisés. Un clip si long, si réussi, si dansant. Et effrayant pour l'époque (1982), même si aujourd'hui cela fait sourire.
Jackson, pour moi, c'est un destin tragique, au sens ancien du terme. Comme si nous savions tous que cela allait mal finir, mais nous étions fascinés par ce génie musical. Une sorte de monstre et d'ange à la fois. Sa mort à cinquante ans n'est guère étonnante, malheureusement. Mais quand j'écoute sa musique, qui ne vieillit guère, je me dis que oui, il a touché à l'immortalité.

Quant à Farrah Fawcett, elle a bercé de multiples après-midi avec les "Drôles de dames". J'adorais cette série, qui repassait souvent (puisqu'elle date en gros de ma naissance). Je m'imaginais souvent être l'une d'elle (la brune aux cheveux carrés, dont j'aimais l'humour et la classe du personnage qu'elle incarnait : Sabrina Duncan dans la série) dans mes aventures de petite fille solitaire. Finalement, je suis peut-être devenue homo en les dévorant des yeux, ces femmes belles, drôles, intelligentes, surprenantes... Je craquais évidemment pour les deux brunes : Jaclyn Smith et Kate Jackson.

droles_de_dames

Et puis Farrah Fawcett avait cette gloire populaire qu'accorde parfois le public américain, à la fois terrifiante et admirable. Cette belle blonde a vécu une histoire tumultueuse avec Ryan O'Neal, le héros de Love story, ce film qui fait pleurer même si on l'a vu quinze fois.

Alors, voilà : les Jackson five, Jackson seul, Fawcett et les "Charlie's angels", O'Neal :  ce sont les années 70 et "mes" années 80-90. Et puis, pfiout, en deux jours, deux symboles qui disparaissent. J'ai déjà peu de souvenirs d'enfance, alors bon...

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