Délicieuse flemmatite
Je crois que j'ai rarement autant apprécié et profité de mes vacances. En tout cas, cela faisait longtemps.
Je me couche relativement tard et me lève vers neuf heures, malgré l'habitude et l'automatisme du 6h30. Hier soir, j'ai zappé entre l'hommage à Michael Jackson et les Desperate Housewifes, avant d'enchainer sur cette série dont j'avais entendu beaucoup de bien : Damages. Glenn Close y est magistrale. Trois épisodes d'affilée, et j'étais déjà en attente de la suite.
La trame narrative est basée sur des flashes back, et je pense que l'on ne comprendra les images du premier épisode que tardivement... Ce qui entretient évidemment le suspense et oblige le spectateur à tout suivre -malgré une tension certaine.
Mon téléviseur n'en revient pas : je ne l'allume normalement que pour jouer à la wii. La télé ne fonctionne que fort rarement. Ce léger laisser-aller me va bien actuellement.
Ce matin, j'ai fait un peu de rangement dans l'appart, deux trois mails; je n'ai toujours pas pris ma douche et je réfléchis encore à ce que je vais faire cet aprèm. Peut-être aller du côté de St Michel. Ou pas. J'ai le choix : j'adore ça !