To be fashion or not to be

Ok, ce n'est pas LE film du siècle. Juste un passe-temps agréable, dans lequel on trouve quelques ébauches sur la solitude dans laquelle nous baignons, et l'espoir auquel nous nous raccrochons sous des travers apparemment futiles.
Mais surtout, surtout, il y a Meryl Streep. Elle joue son rôle tout en finesse, ajustant un grain de voix (en V.O., of course), un regard, un mouvement des lèvres...

Sa dernière interview dans Télérama est d'ailleurs fort instructive et prouve, s'il le fallait encore, l'intelligence de cette dame. Son humanité dans la vie "réelle", comme dans ses films.
Et quel charme... On la croirait presque noble anglaise. C'est dire si on oublie nos a priori franchouillards sur l'Amérique et ses bouseux texans qui jouent à la guéguerre (damned, heureusement que mon amie texane, justement, ne lit pas le français ! Quoique, elle est aux opposés de G.W.B., cowboy -fléau- qui joue aux petits soldats encore à son âge).

Comments

[tigrou]

J'ai un collègue de travail dont la moitié est méxicaine, ce qui lui vaut quelques voyages au pays au moins une fois par an depuis plusieurs années, à Mexico et dans quelques villages reculés du cru. Il est pourtant formel, même dans les bléds les plus paumés, il n'a encore jamais vu le moindre mexicain porter un sombrero...

[Virgibri]

Quand j'y ai passé deux semaines, entre Austin et Dallas, pas vu l'ombre d'un cow-boy, ni d'un chapeau. :o( Même pas un air de country, c'est dire !

[Ed]

Au Texas, elle a de quoi faire en ce qui concerne les cow-boys...
Bon, c'est pas tout ça, moi, le cheval sans cowboy, j'ai changé d'adresse mail. Je sais tu m'écris pas, mais on sait jamais...