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Prof et plus si affinités
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Prof et plus si affinités
16 mai 2009

Presse-agrume


CLAUDE NOUGARO ARMSTRONG

Hier, comme je sais lutter contre mon ennemi intérieur en temps voulu, j'ai bougé : quelques courses d'appoint au prix exorbitant faites après les cours, sieste, trajet pour rejoindre la Fée à un spectacle amateur sur le thème de NY, Chicago, Nougaro...
Il y a eu des choses drôles (sans vouloir me moquer, hein) : les solistes étaient ultra mauvais, une chauve-souris volait au-dessus de nos têtes, et les gens derrière nous avaient un accent à couper au couteau. Sinon, dans les remerciements de circonstance, une prof de lycée a été congratulée avec force bouquet et compliments par ses élèves de seconde. Quand je vois ça, je me dis que c'est vraiment un métier génial : au bout d'un an d'efforts et de travail en commun, on parvient à tenir à bout de bras un projet et à avancer ensemble. Le mieux étant que les élèves en ont conscience à cet âge. C'est entre autres pour cela que je voudrais être en poste fixe : pour envisager des projets sur le long terme (et non pour recevoir un bouquet de fleurs, pffff ! Quoique...).
Je me suis aussi redit que j'étudierai des textes de Nougaro sur l'argumentation, le jour où ça arrivera...

Après cela, j'ai englouti les kilomètres dans la nuit légèrement venteuse. J'adore conduire dans ces conditions. Etre seule au volant ne me dérange pas : je mets la musique un peu fort, je chante ou je me tais, je file dans une ambiance nocturne apaisante...

Les chats ont décidé à six heures qu'il était temps de se lever, mais j'ai résisté et me suis rendormie par trois fois : les cauchemars récurrents de ces derniers jours (et dont je n'ai guère de souvenir au réveil) m'épuisent.

Ce soir, c'est la Nuit des musées. J'ai découvert trop tard qu'au musée Cognacq-Jay il y avait des lectures de contes libertins puis érotiques. Il fallait s'inscrire jusqu'à... hier. Trop nul. De toutes les façons, y aller seule aurait été fort peu amusant.

Et puis nous sommes samedi et je n'ai pas encore publié ma participation aux défis pour la bonne et simple raison que cette semaine, il faut deviner qui est l'auteur de chaque texte (sur le thème de l'acidité) ! Et mes camarades rament - tout comme moi.

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14 mai 2009

Montagnes russes

Montagnes_Russes

Je hais les jeudis. Ils n'ont rien de spécial, hormis le fait qu'il y a deux heures avec la 6ème sport. Et j'arrive à la limite avec eux. Est-il normal d'avoir des envies d'agir "physiquement", au-delà des mots, avec certains d'entre eux ? Ce matin encore, les cours ont été terribles.
En montant dans la voiture, avant de quitter le collège, j'ai dû suspendre mes gestes et écouter le silence avant de démarrer. Je me dis juste après les cours que je vois la vulgarité mal dégrossie, l'humanité au stade de charbon et qui refuse de devenir diamant.
Ou alors, c'est moi qui déforme les choses.
Parce que j'ai peur d'être retombée dans une période de dépression, sans l'avoir vue venir, celle-là. Chaque après-midi, je ne fais rien. Sauf une sieste. Ou quasiment. Et en me forçant. Par exemple, là, je vais des oeufs durs, et c'est un exploit... Je néglige un peu l'appartement (mais pas trop, hein).
Chaque soir, j'ai des angoisses au sujet des cours du lendemain. Aller au collège est ma victoire quotidienne. Tenir en cours aussi.
Ce soir, la Fée joue au théâtre. J'aurais dû aller la voir. Mais je m'en sens incapable. Impression de décevoir beaucoup de monde.
Et pourtant. Pourtant je devrais aller bien, comme diraient certains. J'ai la santé. Un boulot. Tout ça.
Objectif de demain : faire quelques courses d'appoint. Et m'obliger à sortir l'après-midi, pour ne pas comater comme je le fais depuis des jours.
Oui, je sais, c'est dérisoire. Mais il faut commencer quelque part...

13 mai 2009

Eurêka !

J'avais acheté au mois de septembre, dans une brocante, un pied de lampe type Art déco pour 5€. C'était une lampe champignon, initialement, mais le globe a été cassé.

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Pour une somme si faramineuse, je me suis dit qu'essayer de la retaper serait une bonne idée. Et la lampe trainait  dans mon appartement depuis des mois.


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On oublie la wii balance et le bazar, merci.

J'ai donc tenté aujourd'hui de la remettre en état de marche et d'y ajouter un abat-jour. L'ensemble m'a coûté environ 30€.

Alors bon, le résultat final semble donner un truc du genre "J'me l'a pète en miss bricolo !" mais j'ai un souci de vis qui tourne dans le vide et rend instable le haut de la lampe. Une fois que j'aurais remédié à cela, tout ira pour le mieux.

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Etape électrique

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Résultat presque final

Bon, sinon, en soi, mes histoires de bricolage n'ont rien de fabuleux, mais j'évacue beaucoup en faisant des travaux manuels. Cela me vide la tête.
Prochaine étape : les chaises et la table de balcon à nourrir, peindre, cirer. Demandez le programme !

12 mai 2009

Impuissance

prof_et_jagger

www.dadoubd.canalblog.com

C'est moi, ou ce genre de nouvelles se banalise ? Je commence à me dire qu'à force d'effectuer des remplacements un peu partout, j'ai opté pour une prise de recul vitale mais pas toujours efficace.
Mon collège actuel, je n'en parle guère, parce que chaque cours heure passée sans trop de fracas me semble être une victoire. Je suis flic, pas prof. Je ne vois même pas ce que j'enseigne vraiment... Et pourtant, vous me demanderiez de vous décrire ce qui ne va pas, ma description paraîtrait presque ridicule aux yeux de certains lecteurs. Tout ce que je peux dire, c'est que j'ai souvent l'impression de vivre dans un monde parallèle, où mes règles de vie basiques ne sont qu'illusion : leur absence de limites m'effraie, parfois; me peine, toujours.
Alors oui, il m'arrive de cesser de couvrir leurs voix, de les regarder s'agiter sans que cela les perturbe, d'attendre de reprendre pied pour recommencer à lutter... C'est ça, ou j'en attrape un par le col. C'est ça ou je tombe dans la déprime. C'est ça ou je pleure en cours.

Et pourtant, pourtant, comme dit Peps, et tout le monde ne comprendra pas cette contradiction, c'est le plus beau métier du monde...

Edit du 13 mai à 13h30 : encore aujourd'hui, une agression...

11 mai 2009

Le défi du samedi

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Comme je me remets à l'écriture, et que mon nouveau site ami est dans mes liens, je me suis dit qu'il serait judicieux de vous faciliter la tâche. Dorénavant, mes participations seront postées ici aussi, dans la catégorie "Ekritur".
Mes premièrs textes viennent d'être mis en ligne, antidatés : on a une semaine pour envoyer son texte, qui  est publié le samedi, et j'ai commencé fin mars. Il vous suffit donc de cliquer sur la bonne catégorie pour les retrouver.
Je mets au début de chaque entrée un résumé de la consigne (ou bien celle-ci dans son intégralité) pour que vous connaissiez les cadres à l'intérieur desquels on se glisse...
J'espère que cela vous plaira. Et n"hésitez surtout pas à me laisser des critiques (bonnes ou mauvaises !), et allez faire un tour sur le défi du samedi, où bon nombre de défiants sont stupéfiants !

PS : merci de respecter les droits d'auteur si vous voulez diffuser des textes et des photos (je n'utilise que les miennes, globalement).

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10 mai 2009

En passant

Vendredi, Clochette a eu un an. C'est arrivé comme une fleur.

J'ai eu une rose blanche hier.

Aujourd'hui, je vais me balader avec Peps sous un soleil léger.

C'est bon de ne rien faire et d'oublier les tracas du boulot...


Edit de presque 20h

Nous avons finalement fait Auvers-sur-Oise : le château-musée (avec des beaufs à la retraite qui ont... pété -!- et parlé fort), le parc (qui a failli nous échapper, merci le site officiel de la ville !), l'église, le cimetière, un petit restaurant sympa et un pot (photos à venir). Seul souci : j'ai les pieds qui ont souffert dans mes Converse. Je crois avoir bien fait de ne pas en acheter deux paires : ce n'est pas aussi confortable que je le croyais.
On rigole bien, Peps et moi. Et puis ça ne nous empêche pas de nous confier non plus.
Maintenant, je dois gérer mes angoisses habituelles pour les cours du lundi... Qui a dit que je taisais cet aspect de ma vie, mmm ?

9 mai 2009

L'au-delà de la toile

Consigne 59 : écrire un texte à partir d'une toile de Hopper, "Les oiseaux de nuit".

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Phil s’affairait alors que nous n’étions que trois oiseaux de nuit, en plein cœur de cette nuit estivale, à humecter nos lèvres sur les tasses ou à faire semblant. Les cafés refroidissaient souvent trop, mais Phil en resservait toujours du chaud de bon cœur.

Je finissais ma cigarette alors que John et lui parlaient base-ball. Imaginant la tête que j’avais à cette heure tardive, j’ai envisagé de me repoudrer le nez. Tout était lent. Je manquais d’énergie pour aller jusqu’à la porte des toilettes, sur ma gauche. Je savais aussi qu’elle menait aux cuisines, et à l’idée de nager dans des relents de friture, mon cœur se soulevait déjà.

John avait maintenant les yeux dans le vide. Je savais que l’on ne rentrerait pas de sitôt pour autant. Mollement, je me dirigeai vers la porte de toilettes. J’entendis John parler au troisième client, un type que l’on connaissait de vue et qui lisait son journal en mangeant une part de cheesecake.

Etonnamment, je ne plongeai pas dans des odeurs de graillon ou de cuisine : cela sentait presque le propre. Un parfum citronné émergea puis disparut aussi vite qu’il était apparu subrepticement. La porte des toilettes était à gauche. Au fond, celle des cuisines. A droite, une autre porte sur laquelle était inscrit « Staff only » et à laquelle je n’avais jamais porté vraiment attention. Mais là, elle était légèrement entrouverte. J’entendis quelques bruits lointains. Sans savoir pourquoi, prise d’une certaine curiosité, je m’approchai de la porte et penchai la tête.

Il s’agissait des vestiaires pour les employés. La pièce était sombre, à peine éclairée. Mes yeux se sont habitués pourtant assez rapidement. Une employée, celle à qui je devais sans doute la délicate odeur citronnée, me faisait dos. J’aurais dû m’éloigner discrètement, car je devinai qu’elle allait se changer. Mais non. Je restai là, immobile, incapable de bouger.

Elle portait une robe légère surmontée d’une grande blouse blanche aux rayures roses. Au mouvement de ses bras, je devinai qu’elle déboutonnait celle-ci. Sans comprendre, je me mis à frissonner dans ce couloir étouffant. Je suspendis mon souffle. J’aurais presque pu entendre le bruit des boutons pression se décapsulant tour à tour, lentement. On sentait la fatigue de cette femme. Elle soupira en ôtant sa blouse. La robe qu’elle portait était de couleur crème, aussi discrète que la mienne était voyante. Pourtant, je crus deviner ses dessous…

Il fallait que je quitte cet endroit, il était encore temps. Mais non. Aucun mouvement n’était possible. Si je bougeais maintenant, la jeune femme serait surprise et je ne saurais me justifier. Je sentis mon pouls s’accélérer d’un battement d’aile imperceptible. Sa main droite alla masser sa nuque, doucement. J’étais suspendue à cette longue main fine…

Elle s’assit sur le petit banc derrière elle, toujours sans tourner la tête. Elle se pencha. Retira ses chaussures. Et elle massa alors ses pieds délicatement. Je la vis relever ses jambes l’une après l’autre, les appuyer contre les casiers des vestiaires, et ôter ses bas. J’étais suspendue à ces jambes tendues comme un fil…

Les bas pendaient sur le banc, pauvres voiles de tissu morts de n’être plus accrochés à ses cuisses. Elle était toujours assise et ne bougeait maintenant plus. Sa tête était penchée en avant. Elle refit les mêmes gestes que pour ôter sa blouse, mais cette fois-ci avec la robe crème. Le bruit que fit la robe en tombant était splendide. A peine un froissement d’ailes. J’étais suspendue au papillon…

Pourquoi ne bougeai-je toujours pas ? Que m’arrivait-il ? J’étais hypnotisée par les gestes simples de cette femme sans visage. Elle était en dessous et j’eus soudain très chaud. Elle se leva, ouvrit un plus la porte de son casier, et en sortit une robe… rouge. Elle l’enfila presque trop rapidement. J’étais suspendue aux courbes du dos, à la cambrure délicieuse, aux fesses insolentes…

Elle tordit ses bras pour faire remonter la fermeture éclair dans le dos, et noua la ceinture qui fit ressortir sa taille. Je la vis ranger ses affaires, replier les bas, glisser la robe crème et la blouse dans un sac. J’aurais eu largement le temps de m’éclipser. Mais non. J’étais suspendue à la paire de chaussures rouges qu’elle allait enfiler…

Elle glissa ses pieds fins dans les escarpins carmin, ferma la porte de son casier, et fit ce geste renversant d’enfin libérer ses cheveux qui étaient jusque-là attachés. Elle passa ses doigts dans sa chevelure en agitant la tête sur les côtés, comme pour les gonfler. J’étais suspendue à la toison épaisse…

Elle se retourna. Et me vit. Elle ouvrit simplement la bouche en signe de surprise. Se reprit aussitôt. Dignement, elle prit son sac, marcha jusqu’à moi avec ce que je pris dans la pénombre pour un sourire. Je ne savais plus quoi faire. J’étais suspendue à ses lèvres, à ses hanches, au bruit léger de ses talons…

Elle ouvrit la porte en grand. Nous étions face à face. Mon cœur battait la chamade, mon corps battait le rappel.

 

A mon retour dans la salle, John me dit assez satisfait que j’avais repris des couleurs. J’allumai une cigarette en tremblant. Et en souriant.

Mes mains sentaient le citron.

8 mai 2009

Hédoniste

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Oui, j'aime les choses raffinées, la haute technologie, les défis intellectuels, les femmes compliquées. Oui, peu de gens me touchent beaucoup, peu de femmes me charment, mon niveau d'exigence est élevé en amour, en amitié (c'est pareil, de toutes les façons) et avec moi-même...

Mais...

J'aime la douceur d'un rayon de soleil printanier sur ma joue, une assiette à peine remplie de mets simples, des sourires silencieux, des futilités racontées jusqu'au bout de la nuit ou dans les virages d'une journée, le grain de la peau, la simplicité d'un regard, le vent dans les feuilles, la couleur des fruits et légumes dans leur panier, me promener au hasard...

J'aime le complexe et le simple. L'unique.

Comme sont les Hommes.

8 mai 2009

NY : pour rêver encore

Finalement, je voyage sur NY n'en finit plus : j'avais oublié les quelques photos prises avec mon téléphone...
Les voici :

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Mon unique et délicieux hot dog, pas loin de Wall Street

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Des frites de bananes plantains au Best Western de Toronto

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6 mai 2009

News pepper

poivre_sichuan

Au quotidien, je suis plutôt facile à vivre : je m'adapte aisément à diverses situations, je suis généralement d'humeur égale (bon, faut pas trop m'en demander avant le petit-déjeuner, mais voilà tout), j'ai certes mes habitudes, mais on ne me connaît pas pour ma mauvaise humeur ou mon mauvais caractère. Sauf sur un ou deux points précis...

Ayant fort peu confiance en moi, je me tire une balle dans le pied dans de nombreux domaines : l'aspect physique, mes capacités intellectuelles, ma possibilité de réussir, de gagner, mes écrits... En amitié et en amour, aussi, j'ai du mal à comprendre ce que l'on me trouve, et j'en passe et des meilleures.

Et pourtant, de façon fortement contradictoire, je me sens plutôt sûre de moi niveau orthographe. C'est le minimum syndical quand on est prof de lettres, me direz-vous, mais non : les pires fautes, je les ai vues chez des camarades de prépa ou des collègues, et non chez les élèves (qui sont en train d'apprendre et qui sont fort "étourdis"). Ceci étant établi, je peux enfin dire que je suis extrêmement susceptible dès que l'on me fait remarquer une erreur dans mes productions. J'en fais assez peu et me targue de pouvoir les compter sur les doigts d'une main sur ce blog, par exemple. Mais dès que l'on me met le nez dans mes erreurs, c'est terrible. Je suis vexée comme un pou. Parce que dans ma petite tête d'oiseau, je me dis que je suis prise en faute (je SUIS la faute), que l'on me met face à mon incompétence ou ma bêtise, et que même dans le domaine orthographique, je n'assure pas...Et je deviens vite irascible... Je peux aisément faire revenir mes vilains démons contre lesquels j'ai lutté pendant bon nombre d'années, et être désagréable, voire glaciale...

Je ne m'en vante pas et je suis gênée après, mais c'est généralement trop tard.

Hier soir, j'ai découvert par hasard que l'un de mes anciens lecteurs et commentateurs avait quitté le navire suite à une réponse un peu vive de ma part sur la conjugaison que j'avais employée... Et je me suis sentie bien bête.

Pendant des années, j'ai entendu que j'étais glaciale, froide, trop franche, trop directe, pas diplomate, trop "charismatique"... J'ai su aussi très vite que ne rien dire ne me sauvait pas : mes yeux, mon visage disaient tout à ma place, apparemment. Alors j'ai pris sur moi pour devenir moins inaccessible, moins cassante. Mes progrès furent lents, mais il me semblait pourtant être parvenue à un bon compromis. Sauf que parfois, le naturel ressurgit au galop... Ce qui a été le cas par exemple avec ce lecteur. Le pire, c'est que je ne me rends même pas compte de ce côté rebutant sur le moment... Le pire du pire, c'est que j'ai l'impression de prendre sur moi et d'atténuer mes propos...

ortho_pingouins

Je ne vous dis pas dans le monde du travail, avant d'être prof, comment c'était... Etrangement, avec les élèves, c'est tout autre chose. Mais j'accepte mal aussi les reproches de collègues ou de mes supérieurs quant à ma pédagogie. Ces remarques-là sont rares car sans doute moins évidentes à faire. Dans ces cas-là, je ne trouve pas que c'est moi que l'on remet en cause, mais mon travail : l'énergie dépensée,le temps passé à préparer des activités efficaces et intéressantes, les choix d'oeuvres à lire, etc. J'ai rarement eu d'anicroches avec des collègues. Malheureusement, à chaque fois, j'ai été cinglante...

C'est aussi une qualité que de savoir et pouvoir dire les choses, aussi. Une aisance qui n'est pas donnée à tout le monde. Pourtant hier soir, je l'ai vécue comme le revers de la médaille...

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