Depuis le temps que je voulais récupérer ces photos, c'est fait ! Voilà, yamamoto, là :

M'enfin, la 125 que j'aimerais avoir...

A la demande générale, la voici en noir :

Comme je suis censée toucher mes indemnités kilométriques de septembre le mois prochain (cherchez l'erreur), j'ai décidé de m'offrir avec quelques vêtements. Aujourd'hui, petit tour chez Adidas et Dim. Demain, H&M, Gap, Citadium, les Galeries Lafayettes (y'a les 3Jiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !).

J'ai des envies de renouveau, de féminité (j'ai racheté des bas, par exemple -messieurs, on se calme) mais aussi de revenir un style que j'aimais beaucoup et qui me rapproche fortement du look étudiant. Tant pis si cela ne colle pas avec l'image de la prof d'alphabet sérieuse. Après tout, les adolescentes se vieillissent en portant leur sac au creux du coude et des talons hauts. Pourquoi je ne me rajeunirais pas un peu ?

Petite journée magasins + restau mexicain avec ma mère. C'est assez rare pour être noté.

Allez, je file dans le froid vers de nouvelles aventures shoppingesques !

Le chargeur que j'ai acheté (60€), au bout de quinze heures de tests et de charge, me dit avec ses diodes vertes que ma batterie est réparée ! Au réveil (je suis tombée du lit à 6h40), j'étais incrédule : je l'avais branché vers 13h hier...
Donc, programme du jour : replacer la batterie correctement dans le scooter; passer voir ma mère pour lui déposer son barda (comment ça s'écrit, ce machin, tiens ?); filer vers le BHV pendant qu'il n'y a pas trop de monde pour mes petits achats de rentrée, au cas où le Rectorat se réveillerait lundi et m'enverrait à Pétaouchnock sans crier gare.

Sinon, comme j'étais à la maison, j'en ai profité pour faire un grand tri dans mes bouquins scolaires : ils remplissaient deux énormes étagères de ma bibliothèque de chambre. Une dizaine d'entre eux a fini sur un site de revente. Après tout, c'est la saison. Et si je peux me faire un petit peu de sous, ils seront les bienvenus... Sinon, je trouverai une association qui récolte ces ouvrages.

Hier, vers 14h30, armée de mon blouson à coques, de mon casque intégral, et d'un gros sac pour ma mère, je grimpe sur le scooter, et là, rien. Rien de rien. Aucune réaction du moteur, même avec le kick. Aucune fuite apparente, les feux des freins réagissent plutôt faiblement : bilan, la batterie est vide.

J'ai essayé plusieurs fois de remettre en marche la bête, en vain, malgré les conseils de Fet, le frère de S. et ceux de mon concessionnaire.
Il ne me reste plus qu'à aller acheter aujourd'hui un chargeur de batterie moto (dépense imprévue en travers de la gorge), en espérant que ça marche, parce que sinon, je devrai racheter directement une batterie (dépense encore plus chère).
Il a donc fallu que je renonce à aller voir ma mère, puis Chaton et Sandy sa maman, et passer au BHV pour mes achats de rentrée (le fameux "carnet de bord" du prof, par exemple). Le pire, c'est que j'ai fait 45mn de marche intensive hier... Tellement intensive, que j'ai la plus grosse ampoule of my life. Je vais donc devoir marcher avenue de la Grande Armée (en pente, donc), en boitillant.

Ensuite, je jouerai à miss mécano dans mon parking en sous-sol.

Et puis j'ai eu une mauvaise nouvelle aussi dans la journée d'hier par rapport à mon bénévolat, mais je ne peux pas vraiment en parler pour cause d'espionnite éventuelle. Quoique, comme les emplois du temps n'ont toujours pas été faits par l'adjointe en question, elle a sans doute mieux à faire que de me lire... Gnark gnark gnark !

J'ai acheté le cadeau des trente ans de S. hier, mais chut ! Je ne pourrai en parler qu'après le 15 septembre. Pffff, c'est loin...
Sinon, j'ai investi dans un super truc utile : un repose-cuillère futuriste. Et de jolis torchons noirs et blancs.

Pis aujourd'hui, je dois faire un achat terriblement exaltant : du dentifrice. Pas n'importe lequel, en même temps, mais bon. Faut aller dans une parapharmacie. S. m'avait demandé un dentifrice, qui, finalement, n'est plus commercialisé. Facile à trouver, donc. Pffff...

Je prépare mon départ pour les Hautes-Alpes (jeudi). Je prévois des vêtements d'été, de marche et contre le froid. Je prendrai aussi mon arc, histoire de me remettre dans le bain. J'en ai bien besoin, sachant que j'ai dû le sortir trois fois de sa valise cette saison...

Contre la morosité ambiante, une seule solution : sortir, se bouger. Alors je vais aller faire un tour vers les grands magasins, je pense.
Parce qu'en tant que parisienne, je peux me payer ce luxe : jouer à la fille qui a des pépettes à dépenser, évoluer dans tous les rayons, puis repartir bredouille.

Par la même occasion, je jetterai un oeil aux fournitures scolaires (profitons-en pendant que la plupart des schtroumpfs sont en vacances avec leurs parents et leur hurlent : "Ouinnnn, y' fait pô bô ! L'eau est froide !"). Puis à la Queufna.(Tiens, en cherchant une autre façon d'écrire "FNAC", je me dis que, finalement, ce magasin est le snack de la culture...) Et pis chez Sephora. Et pis chez Scoregames. Et pis, et pis...
Je noierai mes idées noires dans des occupations typiquement futiles et capitalistes, quoi.
Même pas peur. Même pas honte.

Hier, j'ai découvert un produit que je trouve génial : de la peinture qui, une fois sèche, devient une sorte d'ardoise. On peut écrire dessus à la craie ! Si j'osais, j'en achèterais en framboise et je ferais un babouillage au-dessus de mon bureau...

Sinon, dans les magasins Cultura, au lieu de brandir des affiches de soldes, ils arborent ce slogan : "Les cartables sont arrivés !!!"

Bon sang, laissez-nous vivre nos vacances ! C'est dingue, ça.

Aujourd'hui, ce sont les soldes. Je vais faire un tour dans des centres de surtock dégriffés et soldés, en plus !

A plus tard, chers lecteurs !