Voilà, depuis hier je range, je trie, je jette. Il y en avait vraiment besoin : j'ai même retrouvé des bulletins de salaire de 2008... La cuisine a été renouvelée d'une certaine façon, aussi : j'ai un petit plan de travail, maintenant. Je voulais la rendre plus fonctionnelle et plus agréable. C'est chose faite, je crois.
Ensuite, il y a eu le bardas du salon avec les piles de papiers. Ce matin, l'aspirateur. Il me restera les poussières, mais je reporte à demain ou lundi, tant pis.
Car, ne l'oublions pas, j'ai un métier, mesdames et messieurs. Et je n'ai quasiment rien fait jusque-là pour le lycée. A part deux paquets d'interrogations plutôt rapides à corriger, et une lecture de Zweig, j'ai tout laissé au point mort.
D'un autre côté, il me fallait essayer de décompresser : je vais devoir traiter (comme tous mes collègues, ce qui est rassurant quelque part) la moitié du programme en un trimestre. Deux objets d'étude (et pas des moindres) en moins de quatre mois : le roman et la poésie.
Donc, au programme de ce week-end, préparation des cours pour les deux prochaines semaines avec contrôles de lecture à la clef, deux paquets de copies de seconde; entre deux, abdos, fessiers et un tour chez Monop ainsi que chez Naturalia (jusque-là, j'ignorais même l'existence de cette boutique près de chez moi...).
Je trouve que c'est déjà pas mal, en fait.
Ah, et puis lundi, si j'en ai le courage, un tour au Bihètchvi pour investir dans un furet.
Pas celui-là, non. Plutôt celui-ci.
Parce que jouer à la mare aux canards quand je prends ma douche, je trouve ça moyen.