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Prof et plus si affinités

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Prof et plus si affinités
24 janvier 2011

Faire son moulin : expr. pop. Changer d'avis, de sentiment sur qqu'un ou qqe chose.

moulin

Ce matin, j'avais du mal à me fixer sur des tâches précises : je me disais "ohmygodohmygod j'aitropdechozafaire !" En gros, je voulais faire le programme d'agreg dans la journée.
Ridicule, of course. Finalement, après un sms d'une agrégative qui semblait sombrer dans le même désir que moi, j'ai changé ma vision des choses. Les dés sont jetés, en fait. Je ne peux plus faire grand-chose en dehors de ce que j'ai fait jusque-là. Quelques révisions, quelques lectures, mais cela ne peut aller plus loin. Il ne reste qu'à attendre que le mystère des sujets s'évaporât (waouh, lire Montaigne et Racine élève le niveau de ce blog !). Et dès demain 9h, il y aura un mystère didactique de moins.

Je croise les doigts pour que le corpus me convienne : on a des facilités voire des "spécialités", et là, face aux textes, on peut avoir un avantage. Ou pas.
J'aimerais éviter le "ou pas".

J'ai quand même le coeur qui palpite, et je retombe dans certains "tocs" que j'avais presque oubliés : faire son sac plusieurs fois, préparer à l'avance tous ses vêtements pour le lendemain matin, organiser son pique-nique en achetant les ingrédients quatre jours à l'avance, acheter les tickets de train et métro aussi, mettre bien en vue les gris-gris...
Mon souci est surtout de me rappeler que je ne joue pas grand-chose sur ce concours, hormis un plaisir, une satisfaction, et un meilleur salaire, ne soyons pas hypocrites. Mais ce que je veux dire, c'est que j'ai un emploi, un statut, un lycée qui me plaît, donc aucune nécessité réelle d'avoir ce concours.

Je dois absolument me rappeler que je passe l'agrégation pour moi. Et non pour que Flûtine, mes amis, ma mère soient fiers de moi. Et là, j'ai du mal. Je reçois forcément des encouragements du type : "Vas-y ! Tu vas réussir ! Tu vas l'avoir !"
Ben justement, et si je ne l'avais pas ? Comment tous ces gens réagiraient-ils ? Je me dois d'occulter tout cela... avant demain matin.

Je partirai fort tôt, au cas où il y aurait un souci dans les transports, mais aussi parce que je ne supporte pas d'arriver ric rac à l'heure. Apparemment, maintenant, on demande aux candidats de coller des étiquettes sur leurs copies et non de remplir les entêtes, mais aussi de se lever comme un seul homme à la fin des épreuves pour être certain que l'on arrête d'écrire... Remarquez, pas une fois dans toute ma vie d'étudiante, je n'ai regardé l'heure en me disant "ohmygodohmygod, je ne finirai pas à temps !" Espérons que ce soit le cas aussi pour l'agreg.

Alors ce soir, je vais peut-être me faire du pain perdu pour cesser de réviser et cuisiner mon pain rassi; je passerai en revue mes tocs; et pour le reste, je ne sais... (en dehors de parler avec Flûtine au lit, évidemment)

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23 janvier 2011

Boustille : n.f. Réaction due à une angoisse soudaine. Agacement.

Résumons-nous : je n'ai pas super bien bossé aujourd'hui. Soit. J'oscille entre deux tendances : 1) je ne sais rien, je ne suis pas au niveau, je n'ai pas pu travailler les textes comme je voulais cette année. 2) j'ai un fort esprit de synthèse, certains candidats vont rendre des daubes, j'ai mes chances.
Alors je me pressurise sans cesse, quoi. Un vrai grain de raisin.
Ce matin, je me suis "aérée" en allant à la Keufna en scooter pour trouver un cordon qui m'aurait permis de lire mon écran d'ordi sur la télé. Sauf que j'ai pris une entrée mâle et une femelle, et qu'il aurait fallu deux mâles. Non mais dans quelle société vit-on ? Que de dépravés ! J'ai donc fait l'aller-retour pour rien. Je résoudrai le problème Sony à mon retour, sauf si la marque me contacte suite au mail que je leur ai fait hier.

_lastique_cheveux

Ceci étant, j'ai des collègues qui me prennent le chouchou par mail depuis ce matin, en ignorant apparemment que ce n'est pas le moment. Je les ai reçues, poliment mais fermement.
Sinon, Dolly est passée pour prendre un jeu de clefs : elle va gentiment s'occuper des chats en mon absence. Heureusement que mes coupines sont là pour contrebalancer les autres.

Bon, allez, je me motive pour retourner jouer au rat de bibliothèque. Tenez, l'une de mes citations favorites : "Plus l'offenseur m'est cher, plus je ressens l'injure." Elle est de Racine. Et je ne l'ai pas recopiée !

22 janvier 2011

Furax, juste ça

Vous savez mon bel ordi quasi neuf, le Vaio ? Et bien il a décidé ce matin, au retour des courses, d'avoir un écran tout hachuré. En bref, il est inutilisable. Evidemment, j'avais tous mes documents d'agreg dessus.
Je suis très agacée, d'un coup.

21 janvier 2011

Récofier : se râcler la gorge d'avoir beaucoup parlé ou ri.

Ce soir, incartade pour se changer les idées : Asa m'a emmenée boire une bière blanche dans un pub, puis nous avons diné sur place. C'était rudement bien de faire autre chose que de réviser, là.
Ce week-end, je vais poursuivre mes révisions, of course; je ferai une petite pause en allant à la Poste et au Monop, et basta. Je préparerai à l'avance ma valise pour jeudi, mais aussi et surtout mes affaires pour les deux jours d'épreuves.
Ne m'en veuillez pas, ce soir, je vais me coucher assez vite... Je reviendrai demain, promis juré. Là, Flûtine me manque un peu beaucoup trop et assez étrangement par rapport à d'habitude; la bière me tourne vaguement la tête; la fatigue me gagne...

A demain, fidèles lecteurs, écrivit-elle avant que les publicités envahissantes de l'hébergeur ne viennent se glisser entre elle et eux...

19 janvier 2011

Pitouffler : profiter de la moindre occasion pour éviter de travailler.

Quelques jeux débiles du net, histoire de se vider la tête après trois chapitres de Montaigne, sont bienvenus, quoiqu'on en dise. Il en sera de même pour un week-end de neige, la semaine prochaine, avec Flûtine. Après le diner, je retournerai à mes lectures. Mais aujourd'hui, j'ai encore évité le cours pénible à la fac, pour nettoyer la voiture (en prévision du voyage, et celle-ci n'avait pas vu l'ombre d'un jet d'eau depuis... juin environ) mais aussi et surtout bosser.
Mes cours se déroulent dans un rythme effréné -du moins, c'est l'impression que j'en ai. Je dois tout mettre en place pour mon "retour", début février.

Je découvre des horreurs pendant mes cours d'ECJS, avec ma classe faible, et des élèves qui habitent pour la plupart en cité. Nous sommes au-delà de la caricature journalistique, je vous assure... Il faudra que je raconte tout ça, une fois, avec les bagarres de filles. J'ai trop tendance à occulter où j'enseigne, parfois.

Sinon, le nez dans le guidon, je cherche à accrocher les pédales; pourtant, idée récurrente que je pédale dans le vide. Sans doute est-ce logique avant les épreuves.

coiffeur_playmobil

Ah et puis même si c'est dérisoire, j'ai des petites secondes qui, en se cachant un peu au fond du couloir, m'ont dit hier :

1) "_ Vous êtes allée au coiffeur, m'dame ?
_ CHEZ le coiffeur..
_ Ouais, chez le coiffeur.( Sourire des deux côtés de l'assistance)"

2) "Vous êtes belle, m'dame !"

Alors ça, pour être honnête, ça vous sauve une journée, même si vous n'y croyez qu'à moitié : cette moitié suffit à m'dame.

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18 janvier 2011

Faire craquer le pécan : expr. idio., se réveiller en pleine nuit, en pensant qu'il faut se lever. Ne pas se rendormir après.

PECAN_ben___jerry

Dans une semaine tout pile, je serai devant un grand bâtiment, à attendre que l'on veuille bien nous ouvrir pour que nous nous installions. Je me serai levée très tôt pour ne pas prendre le risque d'être en retard. J'ai souvenir d'escaliers sans fin, et d'étages immenses avec chacun une salle d'examen.
Dans une semaine tout pile -et tout face-, je m'angoisserai à propos du sujet qui va tomber. C'est drôle comme l'on parle de sujet qui "tombe" tout comme de "tomber amoureux". Je suis sûre qu'il y a une réflexion à faire sur ce point linguistique -mais ce n'est pas moi qui la ferai.

Je prends de l'euphytose (qui ne sert à rien à part me rassurer). Et puis je mange varié. J'ai fait des courses hier en fonction aussi de mes petits paniers repas pour l'agreg.

A part ça, je suis complètement charrette pour le lycée, une vraie catastrophe : je ne corrige plus de copies, je fais mes cours à la vas-y-comme-j'te-pousse, je bosse tout au dernier carat...

Heureusement, je me dis que juste après les épreuves, je partirai quatre jours chez Flûtine. J'ai réussi à avoir deux jours de repos ("en vertu du décret blablabla..." et surtout en précisant que le reste de l'année, je fais mon maximum -sous-entendu, certains ne se gênent pas...). Jolie récompense.

Ce soir, en rentrant, préparation de dernière minute pour les premières, puis lecture de Montaigne, et rererererelecture de mes citations. Et j'écoute en boucle les poèmes de Rimbaud mis en musique par Léo Ferré dès que je le peux.

Et comment ça, je suis speed ?

16 janvier 2011

Rétiber : reprendre du poil de la bête. Lutter contre le mauvais sort.

Afin de compenser l'agression du jeudi, j'ai appelé à tout hasard vendredi midi le coiffeur pour savoir s'il y aurait un rendez-vous de libre. Pas de zazar, je vous dis : j'y étais à 17h30.

Petite coupe pour me "rajeunir" car je commençais à faire mon âge. Hihi !
Beaucoup de féminité, surtout cumulée avec mes petits achats dans les soldes : ma mère n'en revenait pas de me voir si zoulie. Ou plutôt : encore plus zoulie.
Je me demande en fait si la peau ne retrouve pas son élasticité, ou sa "tenue" après le régime. Je n'ai quand même été tendre avec mon corps, et là il semblerait être content : (Emy, ne lis pas cette phrase) je m'affine sans perdre de poids !

Du coup, hier midi, après mon cours à la Fac, j'ai investi dans un lisseur pour m'amuser à créer de nouvelles coiffures. Evidemment, il était en soldes. Non mais oh !

lisseur

Je vais d'ailleurs de ce pas aller l'essayer : il s'utilise aussi sur cheveux mouillés. Et comme j'ai toujours été lamentable dans les prouesses capillaires, ça risque d'être drôle...

16 janvier 2011

Omblage : n.m., légère angoisse, fondée sur rien en apparence. Faire omblage.

A la demande générale d'Emy, je passe ici avant de m'activer comme une folle en ce dimanche...
Jeudi, journée de dingue quasiment sans pause. Déjeuner sur le pouce, après deux commissions d'absentéisme (fléau dans mon lycée comme ailleurs). J'ai cours avec les premières. Je monte l'escalier. Arrivée au premier étage, je vois un élève avec une casquette vissée sur son crâne. Comme à mon habitude, je lance un original  "Caaaaaasquette, jeune homme !". Une fois, rien. Deux fois, il fait le sourd. Je suspends alors ma grimpée, et je le suis.
Avec insistance, pour la troisième fois, je lui demande de retirer sa casquette. Et là, rapidement, je sens que ça ne va pas être simple : il se rapproche d'un coup de moi, et me dit qu'il n'est pas de l'établissement (assez bête de me le dire d'entrée de jeu, d'ailleurs).

"Et alors ? Il y a des règles ici, pour tout le monde." Ah, le bel argument des règles à suivre ! Rien de tel pour l'énerver, puisqu'il voulait justement aller à l'encontre de ce que l'on exige...

_ Vas-y, t'es qui, toi ?
_ Vous me tutoyez ? Continuez, pour voir.
_ Ouais, et tu vas faire quoi ? Vas-y, appelle ! J'm'en bats les c******* ! Appelle les flics, aussi !, dit-il avec agressivité, en bombant le torse vers moi, avec un sourire en coin.

Là, je me penche au-dessus de la balustrade, et je demande aux élèves du bas d'appeler un surveillant. Aucun ne bouge. Ils font comme les trois singes : ils n'entendent, ne voient, ne disent rien.

3singes_sagesse

Telle un doberman, je ne lâche pas l'élève qui m'a insultée. Je le précède à la descente dans le hall., en le poussant légèrement. En bas, c'est moi qui me rapproche de lui, ce qu'il ne supporte pas.

_ Vas-y, tu fais quoi, là ? Recule ! Me touche pas !
_ Vous êtes qui, pour me parler comme ça ?

Soudain, il se rapproche tellement que je peux sentir son haleine de cendrier. Et là, allez savoir pourquoi, au lieu de tomber dans la grossièreté comme lui, je lui lance une phrase sans réfléchir, mais en la pensant vraiment, avec un air de dégoût sans doute : "Ah, vous puez !"
Il s'attendait à tout sauf à ça. Pendant qu'il essaye de m'imiter en rendant sa voix plus aigüe, nous sortons du hall. Soulagement de ma part, je vois ma copine CPE et Dolly arriver.
J'ai le souffle un peu coupé mais je parviens à faire comprendre le problème rapidement :"Intrusion, on m'insulte, on m'agresse !"
La CPE le canalise pendant une minute, mais il lui envoie les mêmes injures très rapidement : elle lui conseille de sortir vivement de l'établissement, car elle va en effet appeler la police. Le jeune homme me regarde avec haine, m'insulte dans sa langue (au ton, j'imagine bien qu'il ne me récitait pas de poésie), et s'en va vers la grille du lycée, tranquille comme Baptiste.

J'ai les mains qui tremblent, et cela m'agace de ne pas avoir réussi à me maitriser plus que cela. Je dois enchaîner et récupérer mes élèves. J'arrive en cours assez fébrile, en me disant que j'ai peut-être pris des risques, mais que je ne regrette pas de ne pas l'avoir lâché.

En attendant, ce n'est pas cela qui me fait le plus omblage, mais les soucis de santé de ma mère. A suivre...

13 janvier 2011

Flétiser : prendre des risques inconsidérés, et trembler après.

Je n'ai guère le temps de m'étendre mais...
Alors, après un appel assez long avec Flûtine, deux commissions absentéisme ce midi, un repas pris au lance-pierre en 20mn à cause des susdites commissions, une agression d'un intrus à mon égard (je vous raconterai ça en détail demain ou ce we, car je me suis trouvée à la fois gonflée, drôle, et inconsciente : j'ai flétisé), deux oraux d'entrainement avec des premières, une séance organisée au CDI pour la semaine prochaine,  je m'arrête quelques instants ici pour faire un signe.

faire_un_signe


J'ai encore trois ou quatre paquets de copies à corriger; quelques feuilles de citations  d'agreg à apprendre (j'ai déjà oublié celles apprises hier); je dois diner (mais je m'étais offert hier soir des makis, alors je vais les terminer, c'est trop dur).
Et pour clôturer ma journée, j'ai reçu une belle feuille jaune : ma convocation à l'agrégation interne.
Donc c'est officiel, j'en suis.

Ah et puis comme il faut souffrir pour être belle, j'ai mis ce matin mes nouvelles doc martens toutes raides. J'étais belle par les pieds, et très fière de les avoir choisies de cette couleur. Un fait exprès, Asa m'a offert un petit cadeau du Maroc : un marque-page/porte-clef avec un pompon... rouge. Pas de hasard, je vous dis, pas de hasard.
Allez, je vais dîner : je ne les ai pas volés, mes makis !

12 janvier 2011

Incrédible : (Québec) que l'on ne peut croire

Il y a des journées qui commencent mal, et qui s'avèrent fastes au final.

patate_bikini

Ce matin, je me suis arrachée du lit comme j'ai pu, après avoir cherché une excuse valable pour ne pas aller travailler -en vain. Les cours me semblaient fort compliqués à gérer (Flaubert, Robbe-Grillet... Oui, je refourgue les auteurs de l'agreg à qui mieux mieux) et les élèves peu réceptifs. Finalement, en dehors de la dernière heure (12h-13h, difficile) qui a tourné à la classe découverte ("Madame, ça pousse comment, les patates ? Et les pâtes ?"), j'ai plutôt bien géré ce cours sur le Réalisme. J'ai crû devoir arrêter en milieu de matinée à cause de mon oeil gauche qui me faisait souffrir, sans savoir pourquoi. Sans doute la craie y est-elle pour quelque chose.

Entre deux cours, j'ai tenté d'organiser un non-galette party avec mes copines de lettres, mais nous sommes tellement super actives que tous les créneaux envisagés sont impossibles à envisager.

Dès 7h du matin, j'avais envoyé un sms à une copine agrégative pour qu'elle me récupère éventuellement ma copie de concours blanc, si on nous les rendait. Car oui, j'ai séché les cours sur Rimbaud et Robbe-Grillet, lamentables la semaine dernière.

A la place -shame on me-, j'ai fait les soldes : c'est le seul jour où cela me sera possible. Au début, la foule m'a déconcertée, et pourtant, j'ai de l'entrainement. Mais serais-je en train de changer, et de me préparer à une vie de recluse au fin fond de la Creuse ? Bref, j'ai failli renoncer assez vite, mais j'avais un plan d'attaque. Alors j'ai opéré selon ce que j'avais préparé.
Et là, miracle : le petit blouson en cuir repéré chez C&A il y a un bail était à 50%. Bingo. Ensuite, direction GAP. J'ai failli me prendre en photo dans la cabine d'essayage : il y avait des années que je n'avais pas ressenti une telle joie en essayant des vêtements en boutique. Car, mesdames messieurs, je rentre dans des vrais pantalons de fiiiiiiiiiiiiiiiiiilles maintenant ! Et je peux commencer à m'habiller comme j'aime, enfin ! Alors j'ai choisi deux bas, et trois hauts. Vi, toussa. Mais plutôt bien soldés.

Puis, ma dernière idée me tenait, alors j'ai pris un bus (j'adore ce moyen de transport dans Paris) pour rejoindre les Halles, et surtout la boutique Doc Martens... Une folle envie de Doc m'a prise il y a quelques semaines. J'ai donc patiemment attendu. Je voulais voir le modèle bleu navy. Je suis ressortie avec les Pascal en rouge cerise. J'adore.

doc_martens_red

Mais le top du top, c'est que juste avant de les essayer, j'ai reçu un sms. C'était ma note de concours blanc sur Montaigne (cf. le 18 décembre environ). Tenez-vous bien : dans les conditions du concours, sans notes, ni cours, ni fiches, j'ai réussi à avoir 8/20. Je n'en reviens pas. Si je décroche ça au vrai concours (priez pour moi, car c'est dans 13 jours maintenant), je serai ra-vie !

Alors entre mes nouveaux pantalons et la note, je suis de bonne humeur ! Je me demande même si je ne vais pas corriger quelques copies, du coup...

PS : j'ai envie d'opter pour des titres d'entrée plus inventifs, dorénavant. Avec des néologismes, des jeux de mots, etc. Vous aimez ?

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