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Prof et plus si affinités

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Prof et plus si affinités
18 avril 2006

Impressions

La migraine m'a (ac)cueillie ce matin. Mais elle ne m'empêche pas de m'attarder sur les travaux administratifs nécessaires à l'après stage. Le brouillon de l'article est fait; les photos sont téléchargées; je n'attends plus que le feu vert du chef. ;o)
Petite forme, sinon. Passage déprime dimanche soir.

migraine

Impression toujours aussi forte de ces cheveux envahisseurs, qui alourdissent ma tête et ne m'avantagent pas.
Pensées variées qui tournent autour de mon père. Encore une autre phase de deuil à passer ? Etrange, le processus de l'esprit, après toutes ces années...

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17 avril 2006

Ouf !

Un petit mot après ces deux jours et demi de travail (6h30-23h30) et de découverte. Je viens tout juste de rentrer. J'aurais dû mettre deux heures maximum pour le trajet, mais j'en ai mis trois et demi... J'ai dû dormir une heure sur une aire de repos tant j'étais lessivée.
Là, je vais regarder ce que donnent les photos, afin de les diffuser sur le blog handisport.
Expérience surprenante que ce stage pour handicapés visuels. Quel bonheur de travailler avec ces gens !

A très vite pour le détail de ce stage, dès que je serai plus opérationnelle.

14 avril 2006

Hairspray

Too much hair. Heavy head. Cut them all. If possible.


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Sharon Stone

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Annette Bening

image_2

Me, so far ago...


14 avril 2006

Départ

Mon week-end de Pâques va se dérouler dans l'Yonne, avec des archers déficients visuels, pour notre stage de pré-sélection au Groupe France. Derniers préparatifs aujourd'hui : valise, arc (je voudrais essayer de tirer avec un bandeau, comme eux...), documents, fichiers, appareil numérique, etc.
Mise en situation plus directe qu'au championnat de France salle, et c'est tant mieux.

dsc_00251

En plus, je vais devoir me dépasser pour aller au-delà de ma déprime ambiante.  M'oublier. Vacances de l'esprit.

13 avril 2006

Silencio

Parler m'est difficile depuis quelques jours. Pas tant sur le fait de formuler des phrases, mais parce que cela m'épuise. Ecrire, même peu, m'est d'un grand réconfort. Comme si la difficulté s'amenuisait dans l'écriture. Ecrire sur un blog appartenant au domaine virtuel, est-ce encore écrire, pourtant ?
Je sais que je replonge dans une de mes périodes d'angoisses. Savoir combien de temps cela dure est toujours une énigme. Le silence est mon refuge, mon repli, ma caverne, ma patrie. J'ai toujours singulièrement aimé les silences. Ce qui rend parfois mon métier douloureux : continuellement dans le bruit, la parole répétitive, la lutte des mots et du sens de ceux-ci.
J'ai fini hier soir un ouvrage dont je parlerai prochainement sur le sujet, justement. Lecture-refuge, aussi. Entre soi et le livre, il n'y a rien d'autre que sa lecture. Le retrait. Le monde que nous créons lors de la lecture est tellement à part. Personne ne peut, ne doit y entrer (quand "l'alchimie" fonctionne, évidemment; sinon, c'est lettre morte).
Pas évident de définir cet état de lecteur. J'avais eu un cours là-dessus en Maîtrise. A la fin de l'année, nous étions repartis avec beaucoup d'interrogations sur cet élément de notre passion et de notre futur métier. Lire est complexe.

toile_1

Parler aussi.

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13 avril 2006

Au réveil

Trop de cheveux sur ma tête; trop de fils à l'intérieur; où est le disjoncteur ?

disjoncteur

12 avril 2006

Politique ?

Berlusconnerie, oui !

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En faisant une simple recherche photographique sur cet arnaqueur international, je suis tombée sur de nombreux sites caricaturaux et critiques italiens. L'Italie serait-elle plus incisive que la France, qui a aussi un voleur à sa tête ? :o/
Cela en fait, des chefs d'Etat qui devraient être en prison...

11 avril 2006

Miroirs

Encore une de ces journées où le constat de mon image, trop éloignée de ce que je voudrais être (paraître ?), m'exècre. Qui es-tu, toi que je vois dans le miroir ? Celle qui ne fait pas de vagues, celle que l'on veut voir, celle qui ne dérange pas, celle qui est trop sage, celle qui est trop ronde ? Celle que tu n'aimes pas.

miroirs

Et même si tu parvenais à un peu mieux la gérer, tu ne pourrais pas vraiment t'en rejouir, car elle décevrait certains de ceux qui t'aiment.

 

J'en ai assez des stéréotypes papier glacé, des étiquettes sociales, des canons de cette fausse beauté qu'on nous assène. Si tout bêtement être soi, au plus proche, c'était cela, la véritable beauté ?

miroirs_2

10 avril 2006

Deambrosis

deambrosis

Mercedes DEAMBROSIS, La Plieuse de parachutes
Ed. Buchet Chastel, diffusion Seuil, 12€

Il est rare qu'un livre m'empêche de dormir et me tienne autant en asphyxie. Lu cette nuit, d'une traite. C'est lié à mon histoire personnelle, certes, et j'en ai conscience.
Mais les critiques que j'avais lues sur cet ouvrage étaient très bonnes, aussi. L'écriture est particulière : pour respecter un semblant d'anonymat (qui se comprend en deuxième partie du livre), l'auteur "cache" les noms par des points de suspension; utilise des pronoms personnels assez nombreux pour qu'il y ait un semblant de confusion. Mais ce n'est qu'une astuce d'auteur.
La Plieuse de parachutes n'est  pas un roman comme les autres, et il est difficile de le résumer correctement. Disons que la mort est au centre, la misère humaine au milieu, l'espoir et le désespoir sur les côtés. Le langage y brille par son impuissance.
Comme nous sommes dérisoires, dans cet univers. Notre vie tient à des riens.
Et c'est pour ses riens que je survis.

9 avril 2006

L'air de rien

Parce que ça fait longtemps qu'il n'y a pas eu de présence féline virtuelle...


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