Cripougner : se réveiller puis de rendormir jusqu'à pas d'heure.
J'ai dormi par à coups, certes, mais dormi beaucoup : levée à 11h pour ensuite filer chez le dentiste de Flûtine. Je manque de fluor, mais je le vis bien. Et je me sens jolie, même si j'ai mal à la tête. Ne cherchez pas le rapport avec la choucroute, il n'y en a pas.
Hier soir, petite balade dans la ville : on s'extasie sur des gâteaux fabuleux, des chocolats affolants (moi qui n'aimais pas ça, j'en deviendrais amatrice...), des petites babioles, des chaussures super et on achète peu : deux guimauves (citron et framboise) et une plaquette rare de la plus pure fève de cacao connue au monde (le chuao). Wouèh, je crâne.
Et pis une envie de pain d'épices bio.C'est tout.
Là, nous travaillons un peu (enfin, moi, pas trop puisque je suis ici); nous déjeunerons frugalement; nous ferons du shopping de fin de soldes après et nous envisageons éventuellement un petit restau ce soir.
Demain, direction une station de ski modeste. J'ignore s'il y aura de la neige, mais je m'en fiche : changement d'air, de lieu; balades en vue. Et hôtel charmant.
Sinon, même après décompression, je ne panique pas pour les écrits de l'agreg, même si je vois mes petites omissions sur Montaigne. Quant à la didactique, je crains d'avoir cartonné... Oui oui, je le crains : car si je pense avoir cartonné, et que je ne passe pas le cap des écrits, ça sera dur. Et si je les ai, je ferai des pronostics fumeux avant les oraux. Dans un cas comme dans l'autre, ce n'est pas bon. Je ne dois donc pas m'emballer et surtout ne pas trop étaler mon optimisme en salle des profs : tout le monde n'en sera pas ravi...
Bon, l'omelette aux poivrons de ma dulcinée m'appelle. Je vous laisse pour l'instant, fidèles lecteurs.