What else ?
Ma mère a une machine Nespresso. J'en ai une. La mère de S. aussi, ainsi que sa grand-mère. Jeanne, idem. Bref, je suis cernée, et j'en suis ravie.
Celle de ma mère rend l'âme au niveau du bouton de préchauffage. Elle s'arme de patience le matin, et enfonce le bout d'une cuillère pointue dessus pour pouvoir la mettre en route à un moment donné.
Alors j'ai eu une idée lumineuse hier soir (juste avant de découvrir que mon félin noiraud avait uriné sur mon canapé par deux fois...) : en cumulant le bon de 70€ de fidélité envoyé par Nespresso, ainsi que les 20€ de bons d'achat de Boulanger, je pouvais acheter une machine neuve pour moins de 100€ aisément.
J'en ai parlé à ma mère, qui, emballée, me dit de me faire plaisir et qu'elle va récupérer ma machine à café qui, elle, fonctionne très bien.
C'est le genre de chose qu'il ne faut pas me répéter deux fois. Aujourd'hui, donc, direction le magasin, armée de tous mes coupons. J'ai longuement hésité entre deux modèles. Le tout dernier, long, mince, splendide, reprenant l'architecture des builgings new-yorkais, le Citiz noir laqué. Mais il y avait aussi le Cube, noir mat, qui m'avait tapé dans l'oeil dès sa sortie il y un an ou deux. Le match était serré, et l'écart de trente euro.
Au final, j'ai acheté les deux ! Le Cube pour moi, et le Citiz pour S. à son bureau : Nespresso m'avait donné deux bons de 70€. Et les machines étaient en promotion pour Noyel (180 au lieu de 230 pour le Cube, et 150 au lieu de 170 pour le Citiz).
Je viens d'installer mon engin à café, et je suis toute contente : il rutile, il s'illumine quand le café passe, le support tasse s'abaisse automatiquement à la mise en route de la bête, et j'ai mon chauffe-tasse. Finalement, que demande le peuple ? Ce sera là mon cadal cadeau de Noyel à moi que je me fais moi-même. Na !