Qui peut arrêter le mode pilotage automatique, s'il vous plaît ?
Je sens bien que mes entrées sont moyennement palpitantes en ce moment, étant donné que j'ai des collègues bisounours. Mais il y a aussi le rythme soutenu du lycée qui n'arrange rien. D'un autre côté, je me suis mise en fonction pilote automatique depuis un certain temps, je crois.
Pour autant, j'essaye de sortir un peu le we pour ne pas devenir zinzin et absorbée uniquement par le travail. Alors hier après-midi, Mamanafaim (ancienne collègue de math et amie du premier établissement où j'ai enseigné) est venue prendre le thé. Nous avons évidemment parlé potins, pédagogie, élèves, tout comme cela avait été le cas dimanche dernier avec Micahuète. Les profs sont incorrigibles.
Hier soir, restaurant japonais imprévu avec S. et retour très tôt : j'étais épuisée. A peine rentrée, j'ai plongé dans mon lit pour ne me réveiller qu'après plus de neuf heures d'un sommeil lourd et quelque peu agité. Aujourd'hui, du rangement, peut-être un ciné, cours et copies au rythme habituel, repassage devant la télé ce soir sans doute...
Rien de fascinant à tout ce que je vous raconte, je sais. Mais j'ai bien du mal à émerger ce matin -comme de nombreux autres matins...